Investment Commentary – For the week Ended February 13 – From Our Partners
Global equity markets finished lower over the week ended February 10 as comments by several U.S. Federal Reserve Board officials pointed to more interest rate increases. Mixed earnings results also weighed on investor sentiment. Canada’s main index, the S&P/TSX Composite Index, finished in the red, hindered by weakness in the Health Care sector. In the U.S., the S&P 500 Index also declined. Yields on 10-year government bonds in Canada and the U.S. moved higher over the week. The price of gold finished relatively unchanged, while the price of oil surged higher.
BoC’s first Summary of Deliberations
- The Summary of Deliberations from the Bank of Canada’s (“BoC”) last meeting revealed it was deciding the merits of a quarter-point rate increase versus holding steady.
- The BoC was also considering the best way to signal to markets it expects to pause interest rate increases. Canada’s central bank chose to convey its intention to make future rate increases data dependent.
- Because the BoC lowered its outlook for Canadian economic growth and expects inflation to subside later this year, market participants got the message that a rate pause is likely.
- This was the BoC’s first Summary of Deliberations as it looks to be more transparent on how it makes monetary policy decisions. In the U.S., the Fed releases the minutes for each of its meetings.
Canada adds even more jobs in January
- The Canadian economy added 150,000 jobs in January, well above the 15,000 job additions economists expected and December’s revised 69,200 job additions.
- It was the highest number of monthly job additions since February 2022.
- Job gains were posted in both the public and private sectors across full and part-time jobs. The wholesale and retail trade industry and health care and social assistance industry posted large job gains.
- The unemployment rate remained steady at 5.0% in December.
- Despite BoC efforts, Canada’s labour market showed little sign of cooling in January. It remains a tight market.
U.S. trade deficit widens
- In a further sign that global demand is waning amid much tighter financial conditions, U.S. exports fell 0.9% in December, the fourth straight monthly decline.
- The drop was driven by a fall in crude oil and consumer goods shipments.
- Conversely, imports increased over the month, rising by 1.3%.
- In response, the U.S. trade deficit widened from US$61.0 billion (C$81.5 billion) to US$67.4 billion (C$90.0 billion).
- Throughout 2022, the U.S. ran a trade deficit of US$948.1 billion (C$1.3 trillion), its biggest deficit ever.
U.K. economy stalls in Q4
- According to a preliminary estimate, the U.K. economy posted no growth (0.0%) in the fourth quarter of 2022 over the previous quarter, matching economists’ expectations.
- The economy narrowly missed falling into a technical recession after it contracted by 0.2% in the third quarter.
- A drop in manufacturing activity weighed on the U.K. economy, while the service sector was largely flat over the fourth quarter.
- Household spending picked up compared to the previous quarter but grew at a 0.1% pace. Meanwhile, a drop in net trade detracted from economic growth.
- During 2022, the U.K. economy expanded by 4.0%, slowing from the 7.6% expansion in the previous year.
En contexte d’allusions à d’autres hausses de taux faites par plusieurs représentants de la Réserve fédérale américaine (Fed), les marchés d’actions mondiales ont fait marche arrière au cours de la semaine terminée le 10 février. Les résultats mitigés sur les bénéfices ont également miné l’humeur des investisseurs. Le principal indice du Canada, l’indice composé S&P/TSX, a perdu du terrain, fragilisé par les travers du secteur des soins de la santé. Au sud, l’indice américain S&P 500 a aussi passé le fil d’arrivée hebdomadaire dans le rouge. Sur le plan des rendements obligataires, les bons sur 10 ans des gouvernements canadien et américain se sont tous deux avancés pendant la semaine. Du côté des marchandises, le prix de l’or a essentiellement fait du surplace, tandis que celui du pétrole a grimpé en flèche.
Premier résumé des délibérations de la Banque du Canada
- Selon le résumé des délibérations issu de la dernière rencontre de la Banque du Canada, cette dernière indiquait débattre le bien-fondé d’une augmentation de ses taux d’un quart de point par rapport au statu quo.
- La Banque du Canada a également porté son attention sur la meilleure façon d’annoncer au marché une interruption, le cas échéant, de ses majorations de taux. Finalement, la banque centrale a indiqué que toute décision éventuelle à cet égard s’appuierait sur les données.
- En outre, comme la banque a rajusté à la baisse ses prévisions au chapitre de la croissance économique du Canada et qu’elle prévoit un ralentissement de l’inflation plus tard cette année, les intervenants du marché ont compris qu’une halte des hausses de taux était probable.
- Ce premier résumé des délibérations de la Banque du Canada s’inscrit dans une volonté de transparence accrue dans le processus décisionnel de sa politique monétaire. Aux États-Unis, la Fed publie le compte-rendu de toutes ses rencontres.
Encore plus d’emplois en janvier au Canada
- En janvier, l’économie canadienne s’est enrichie de plus de 150 000 emplois, un nombre de bien supérieur aux 15 000 emplois prévus par les économistes et aux 69 200 emplois ajoutés en décembre.
- Il s’agit de l’ajout le plus important depuis février 2022.
- Ces additions touchaient aussi bien les emplois à temps partiel qu’à temps plein, tant dans les secteurs publics que privés. L’industrie de la vente en gros et au détail, ainsi que celle des soins de la santé et de l’aide sociale ont affiché des gains importants sur le plan de l’emploi.
- Néanmoins, le taux de chômage canadien est demeuré au même niveau en décembre, soit 5,0 %.
- Malgré les efforts de la banque centrale, le marché du travail canadien, qui reste très tendu, n’affichait aucun signe de fatigue en janvier.
Élargissement du déficit commercial américain
- En contexte de conditions financières beaucoup plus étroites ponctué de signes plus prononcés d’un essoufflement de la demande mondiale, les exportations américaines ont fléchi de 0,9 % en décembre, ce qui représente un quatrième mois de déclin.
- Cette chute a été causée par un repli des exportations de pétrole brut et de biens de consommation.
- En revanche, les importations ont augmenté au cours du mois par une marge de 1,3 %.
- Incidemment, le déficit commercial américain s’est élargi, passant de 61,0 milliards $ US (81,5 milliards $ CA) à 67,4 milliards $ US (90,0 milliards $ CA).
- Tout au long de 2022, les États-Unis ont continué de creuser leur déficit pour le chiffrer à 948,1 milliards $ US (1,3 billion $C), soit le plus grand déficit en tout temps dans ce pays.
Point mort de l’économie du R.-U. au T4
- Selon des estimations provisionnelles, l’économie du Royaume-Uni aurait affiché une croissance de 0,0 % au quatrième trimestre de 2022 par rapport au trimestre précédent, un résultat qui correspondrait par ailleurs aux attentes des économistes.
- L’économie a ainsi presque sombré dans une récession technique après avoir affiché une contraction de 0,2 % au troisième trimestre.
- L’économie du pays a souffert d’une diminution des activités de fabrication et de résultats essentiellement nuls du côté du secteur des services.
- Les dépenses des ménages se sont à peine accrues par rapport au trimestre précédent, comme en témoigne leur petite augmentation de 0,1 %. Entretemps, un recul des échanges commerciaux nets est venu mettre des bâtons dans les roues à la croissance économique du territoire.
- En 2022, l’économie du R.-U. a profité d’une expansion de 4,0 %, ce qui constitue un ralentissement par rapport à son embonpoint de 7,6 % enregistré l’année précédente.
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