Your weekly commentary – For the week ended June 26 – From Our Partners

Global equity markets declined over the week ended June 26 as comments by U.S. Federal Reserve Board (“Fed”) Chair Jerome Powell pointed to more interest-rate increases this year. And across the Atlantic, the Bank of England (“BoE”) announced a larger-than-expected 50-basis-points (“bps”) rate hike. Inflation remains a concern for global central banks. In Canada, the S&P/TSX Composite Index fell, dragged down by the Real Estate sector. U.S. equities, as measured by the MSCI USA Index, declined. Oil and gold prices both declined. Yields on 10-year government bonds in Canada and the U.S. were largely unchanged.

Canadian retail sales climb higher

  • Retail sales in Canada rose 1.1% in April, topping the 0.4% increase economists expected.
  • A rise in sales at general merchandise retailers and at clothing and accessories stores drove the first increase in three months.
  • The result could suggest Canadian households are willing to spend rather than save, believing tight financial conditions are slowly loosening, with inflation easing and interest rates at or close to their peak.
  • The Canadian consumer has been a key driver of Canada’s economic growth since the pandemic. The data suggests consumers remain relatively strong, benefiting from a strong labour market.

Raising the capital requirements for Canadian banks

  • The Office of the Superintendent of Financial Institutions (“OSFI”) raised capital requirements for Canada’s major banks.
  • OSFI raised the domestic stability buffer by 50 bps to 3.5%. This will result in the common equity tier one ratio for banks to increase to 11.5%, compared to the current 11.0%.
  • The Canadian regulator believes Canadian banks face risks, including high levels of household and business debt, which could worsen if economic conditions deteriorate.
  • According to DBRS Morningstar, the increase to the stability buffer is positive and could create some additional resiliency amid much uncertainty.
  • The banking sub-sector on the S&P/TSX Composite Index finished lower over the week.

Major global central banks adjusting policy

  • The BoE raised its policy interest rate by 50 bps to 5.00%, the highest level since 2008. The increase surprised economists expecting a 25-bps-rate hike.
  • The BoE raised its key interest rate at its 13th consecutive meeting as it seeks to bring down elevated inflation, which was 8.7% in May, above expectations.
  • Meanwhile, the People’s Bank of China (“PBOC”) went in the opposite direction. The PBOC reduced its one and five-year loan prime rates by 10 bps, the first reduction since August 2022. China’s central bank hopes the reduction in its key interest rates will help support China’s economy.
  • While the Fed paused interest rates at its last meeting, Chair Powell stated in his Semi‑Annual Monetary Policy Report to U.S. lawmakers the Fed believes it will need to keep raising interest rates this year to tame inflation and slow growth. At the last meeting, Fed officials said they expect their key rate will reach 5.6% by year-end.

Slower global business activity in June

  • Data showed business activity worldwide softened in June compared to May, suggesting the global economy is facing headwinds and demand may be waning amid tight financial conditions.
  • Manufacturing activity in the world’s largest economy, the U.S., contracted again in June, with weak demand weighing on new orders. Meanwhile, the service sector in the U.S. slowed. Overall, business activity in June expanded but was slower than in May.
  • In Europe, business activity slowed but expanded at a slight pace. The main driver of the slowdown was a drop in its service sector, which was hindered by easing new orders and output. Europe’s manufacturing sector contracted for an eleventh straight month. The manufacturing sector in Germany, Europe’s largest economy, contracted at its sharpest pace since 2020.
  • The story was similar in the U.K., where the service sector slowed, while manufacturing contracted again. In Japan, manufacturing activity contracted in June, following an expansion in May.

Au cours de la semaine ayant pris fin le 26 juin, les marchés boursiers mondiaux ont fait marche arrière en réaction aux remarques du président de la Réserve fédérale américaine (Fed), Jerome Powell, indiquant qu’il y aurait de nouvelles hausses de taux d’intérêt cette année. De l’autre côté de l’Atlantique, la Banque d’Angleterre (BOE) a relevé le taux d’intérêt de 50 points de base, soit plus que ce à quoi on s’attendait. L’inflation demeure un souci majeur pour les banques centrales mondiales. Au Canada, l’indice composé S&P/TSX a régressé, entraîné vers le bas par le secteur de l’immobilier. Les actions américaines, mesurées par l’indice MSCI USA, ont elles aussi perdu du terrain. Les prix de l’or et du pétrole ont reculé. Les rendements des obligations à 10 ans des gouvernements canadien et américain ont essentiellement fait du surplace.

Augmentation des ventes au détail au Canada

  • Les ventes au détail au Canada ont avancé de 1,1 % en avril, faisant mordre la poussière au taux de 0,4 % escompté par les économistes.
  • Cette première remontée en trois mois est imputable à l’augmentation des ventes chez les détaillants de marchandises générales et dans les magasins de vêtements et d’accessoires.
  • On pourrait en déduire que les ménages canadiens sont davantage enclins à dépenser qu’à épargner, et qu’ils croient que les conditions financières vont peu à peu s’améliorer maintenant que l’inflation ralentit et que les taux d’intérêt ont atteint, ou sont sur le point d’atteindre, leur sommet.
  • Le consommateur canadien a été l’un des principaux moteurs de la croissance économique canadienne depuis la pandémie. Cette donnée suppose que les consommateurs restent forts et tirent profit d’un marché de l’emploi solide.

Augmentation des exigences en matière de capital pour les banques canadiennes

  • Le Bureau du surintendant des institutions financières (BSIF) a relevé ses exigences en matière de capital pour les grandes banques canadiennes.
  • La BSIF a augmenté le taux de la réserve pour stabilité intérieure de 50 points de base pour l’établir à 3,5 %. De ce fait, le ratio des fonds propres de catégorie 1 sous forme d’actions ordinaires des banques passe de 11,0 % à 11,5 %.
  • Les régulateurs canadiens croient que les banques canadiennes s’exposent à divers risques, comme le niveau élevé d’endettement des ménages et des entreprises; des risques qui pourraient par ailleurs empirer si les conditions économiques se dégradaient.
  • Selon DBRS Morningstar, cette hausse du taux de la réserve pour stabilité est une bonne chose et elle pourrait créer plus de résilience dans un contexte d’incertitude.
  • Au sein de l’indice composé S&P/TSX, le sous-secteur bancaire a perdu des plumes cette semaine.

Les principales banques centrales mondiales révisent leur politique

  • La BOE a augmenté son taux directeur de 50 points de base pour l’établir à 5,00 %, son plus haut niveau depuis 2008. Cette mesure a surpris les économistes qui s’attendaient à une hausse de 25 points de base.
  • La BOE a pris cette décision lors de sa 13e réunion consécutive dans le but de faire baisser l’inflation qui s’élevait à 8,7 % en mai, soit au-dessus de ce qu’on espérait.
  • Pour sa part, la Banque populaire de Chine (BPC) s’est engagée dans la direction opposée. La BPC a réduit son taux préférentiel de dix points de base pour les prêts à un an et à cinq ans. Il s’agit de la première baisse depuis août 2022. La banque centrale chinoise espère que la diminution de son taux directeur apportera son soutien à l’économie chinoise.
  • Bien que la Fed n’ait pas majoré le taux d’intérêt lors de sa dernière rencontre, le président Powell a déclaré dans son Semi-Annual Monetary Policy Report to U.S. lawmakers (rapport semestriel sur la politique monétaire au Congrès) que la Fed croit qu’il sera nécessaire de continuer à le relever cette année afin de mater l’inflation et ralentir la croissance. À la dernière réunion, les administrateurs ont fait savoir qu’ils prévoyaient que le taux directeur se chiffrerait à 5,6 % à la fin de l’année.

L’activité commerciale mondiale ralentit en juin

  • Les données indiquent que l’activité commerciale mondiale a été plus lente en juin qu’en mai, ce qui laisse entendre qu’un vent contraire souffle sur l’économie mondiale et que les conditions financières serrées affaiblissent la demande.
  • Les activités manufacturières de la plus grande économie mondiale, les États-Unis, se sont contractées en juin, le ralentissement de la demande s’étant répercutée sur le nombre de nouvelles commandes. Simultanément, le secteur des services a traîné de la patte aux États-Unis. Dans l’ensemble, l’activité commerciale a progressé en juin, mais plus lentement qu’en mai.
  • En Europe, l’activité commerciale a ralenti, mais a pris une légère expansion. Ce retard est principalement imputable à la défaillance du secteur des services qui a été gêné par la baisse des commandes et de la productivité. En Europe, le secteur manufacturier s’est comprimé pour le onzième mois de suite. En Allemagne, première économie européenne, le secteur manufacturier a subi sa contraction la plus abrupte depuis 2020.
  • Au Royaume-Uni, la situation a été semblable. Le secteur des services a traîné et le secteur manufacturier a de nouveau reculé. Au Japon, les activités manufacturières se sont repliées en juin après avoir pris de l’avant en mai.

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