Your weekly commentary – For the week ended July 10 – From Our Partners

Equities began the second half of the year with a whimper. Global equities declined over the week ended July 10. Strong jobs reports in the U.S. heightened expectations there would be more rate hikes from the U.S. Federal Reserve Board (“Fed”). The S&P/TSX Composite Index declined, hindered by weakness in the Information Technology sector. U.S. equities, as measured by the MSCI USA Index, also finished lower. The yield on 10-year government bonds in Canada and the U.S. rose over the week. The price of oil advanced, as did the price of gold.

Canada posts deep trade deficit

  • Exports from Canada sunk by 3.8% to $61.5 billion in May, marking the country’s lowest value of exports since early 2022. Exports dropped for energy products, due in part to lower prices. Shipments for agricultural and forestry products also declined in May.
  • Imports, on the other hand, rose by 3.0% to $65.0 billion in May, another signal of relatively strong demand in Canada.
  • Canada’s trade balance fell into a $3.44 billion deficit in May, its first in three months and the steepest deficit since October 2020.
  • Net exports were a key contributor to Canada’s economic growth in the first quarter. Fading trade activity could hinder Canada’s economic activity.

North American economies add jobs

  • The Canadian economy added 60,000 jobs in June, rebounding from the 17,300 job losses in the previous month. This marked the highest number of job additions since January, largely in response to robust gains in the wholesale and retail trade industry.
  • Canada’s unemployment rate ticked higher to 5.4% in June.
  • In the U.S., the unemployment rate dropped to 3.6% in June, adding 209,000 jobs, but this fell short of economists’ expectations. Still, the labour market remains robust, which may give the Fed more runway to lift interest rates.
  • In a separate report, ADP announced U.S. private businesses added 427,000 jobs in June, which was the highest number of monthly job additions since February 2022.
  • Job additions were highest in the service-producing industries, which is indicative of household spending patterns, particularly coming out of the pandemic. The leisure and hospitality industry added 232,000 jobs over the month, which more than offset a drop in jobs in the manufacturing sector.

European business activity contracts for the first time this year

  • Business activity in Europe shrank in June, its first contraction in 2023, in response to a slowdown in Europe’s service sector and another contraction in manufacturing activity.
  • Relatively muted demand weighed on new orders, pushing the manufacturing sector further into a contraction.
  • The service sector expanded in June, but at a much slower pace than in May, hurt by lower new work.
  • The European economy fell into a technical recession in the first quarter, and conditions still appear weak in the second quarter. May’s retail sales posted no growth for the second straight month.

OECD says inflation reached lowest rate since 2021

  • The Organisation for Economic Co-operation and Development reported that inflation among its members dropped to 6.5% in May, its lowest level since December 2021.
  • The easing rate of inflation in May came in response to a 5.1% decline in energy prices, while the price of food also slowed during the month. These are two notable expenditures for global households, so the moderation provides some relief to consumers.
  • The core inflation rate, which excludes more volatile food and energy prices, eased in May to 6.9% but remained at elevated levels. The high core inflation rate suggests price pressures are broad-based, and not limited to just energy or food.
  • Among G7 countries, inflation softened to 4.6% in May, with the U.K. carrying the highest rate for the month. Canada’s inflation rate was 3.4% in May.
  • Despite moderating, elevated inflationary pressures persisted, which could prompt central banks to keep raising interest rates.

Les actions ont entamé la deuxième moitié de l’année en gémissant. En effet, les actions mondiales ont perdu pied au cours de la semaine s’étant terminée le 10 juillet. Les rapports indiquant que l’emploi gagne en force aux États-Unis sont venus entretenir l’idée que la Réserve fédérale américaine (Fed) allait sans doute rehausser les taux d’intérêt. L’indice composé S&P/TSX a reculé, entravé par la faiblesse du secteur des technologies de l’information. Les actions américaines, mesurées par l’indice MSCI USA, se sont également repliées. Le rendement des obligations à 10 ans des gouvernements canadien et américain s’est prévalu d’un gain. Le prix du pétrole s’est relevé, tout comme celui de l’or.

Le Canada affiche un important déficit commercial

  • Les exportations en provenance du Canada ont chuté de 3,8 % pour atteindre 61,5 millions $ en mai, ce qui représente leur valeur la plus basse depuis le début de 2022. Les exportations de produits énergétiques ont fait marche arrière, en partie à cause des prix moins élevés. Les expéditions de produits agricoles et forestiers ont également diminué en mai.
  • Cependant, les importations se sont accrues de 3,0 % en mai pour s’élever à 65,0 millions $, preuve supplémentaire que la demande demeure relativement forte au Canada.
  • La balance commerciale du Canada a accusé un déficit de 3,44 milliards $ en mai, son premier en trois mois et son plus abrupt depuis octobre 2020.
  • Les exportations nettes ont été l’un des principaux moteurs de la croissance économique du Canada au premier trimestre. La dégradation de l’activité commerciale pourrait faire obstacle à l’activité économique canadienne.

L’économie nord-américaine crée des emplois

  • L’économie canadienne s’est enrichie de 60 000 emplois en juin, après en avoir perdu 17 300 le mois d’avant. Il s’agit du rebond le plus important depuis janvier et il est dû largement aux gains considérables inscrits par l’industrie des ventes en gros et du commerce de détail.
  • Au Canada, le taux de chômage a grimpé à 5,4 % en juin.
  • Aux États-Unis, il a fléchi à 3,6 % en juin grâce à l’ajout de 209 000 emplois, mais il n’a pas été à la hauteur des attentes des économistes. Le marché du travail demeure néanmoins robuste, ce qui pourrait donner à la Fed toute latitude pour hausser les taux d’intérêt.
  • Dans un rapport indépendant, ADP a indiqué que les entreprises privées américaines avaient créé 427 000 emplois en juin, soit le nombre le plus élevé en un mois depuis février 2022.
  • Les nouveaux emplois ont été plus nombreux chez les fournisseurs de services, ce qui illustre les habitudes de consommation des ménages, particulièrement au sortir de la pandémie. L’industrie du loisir et de l’hôtellerie a généré 232 000 emplois durant le mois, compensant plus qu’amplement les pertes du secteur manufacturier.

L’activité commerciale européenne se contracte pour la première fois cette année

  • L’activité commerciale européenne s’est rétrécie en juin, pour la première fois en 2023, en raison du ralentissement du secteur des services et d’une nouvelle diminution de l’activité manufacturière.
  • La demande plutôt timide a joué à la baisse sur les nouvelles commandes et, par conséquent, accentué le repli du secteur manufacturier.
  • Le secteur des services s’est étoffé en juin, mais plus lentement qu’en mai, car il a été freiné par le nombre médiocre de nouveaux emplois.
  • L’économie européenne est en récession technique depuis le premier trimestre, et les conditions semblent toujours faibles au second trimestre. En mai, les ventes au détail ont fait du sur place pour le deuxième mois de suite.

OCDE déclare que l’inflation est à son taux le plus bas depuis 2021

  • L’Organisation de coopération et de développement économique a mentionné que l’inflation chez ses membres avait chuté à 6,5 % en mai, son taux le plus bas depuis décembre 2021.
  • L’essoufflement de l’inflation en mai s’explique par la baisse de 5,1 % du prix de l’énergie, tandis que le coût des aliments a lui aussi régressé. Il s’agit là de deux dépenses considérables pour les ménages et le fait qu’elles aient diminué a quelque peu soulagé les consommateurs.
  • Le taux d’inflation de base, qui exclut les prix plus volatils des aliments et de l’énergie, a rétrogradé à 6,9 % en mai, mais il demeure élevé. Il signale que la pression exercée sur les prix est généralisée et non pas limitée à ceux de l’énergie ou des aliments.
  • Chez les pays du G7, l’inflation a reflué à 4,6 % en mai, et c’est au Royaume-Uni qu’elle a été le plus élevé. Au Canada, l’inflation a été de 3,4 % en mai.
  • Malgré ce ralentissement, les pressions inflationnistes demeurent fortes, ce qui risque d’inciter les banques centrales à poursuivre leurs hausses de taux d’intérêt.

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