Your weekly commentary – For the week ended September 11 – From Our Partners
Global equity markets fell over the week ended September 11, with comments from central bankers pointing to the likelihood of more rate increases. Economic data released over the week was mixed, with many major economies seeing service sector activity improving but factory-related data posting weakness. The S&P/TSX Composite Index finished lower, dragged down by the Information Technology sector. Equity markets in the U.S. also declined. Oil prices advanced while the price of gold fell. Yields on 10-year government bonds in Canada and the U.S. ticked higher over the week.
The BoC holds steady
- As was widely expected, the Bank of Canada (“BoC”) held its benchmark overnight interest rate steady at 5.00%, its highest level since 2001.
- The BoC’s rate hold came in response to the Canadian economy slowing, particularly in the second quarter when the economy shrank. Meanwhile, inflation continues to soften.
- Still, September’s rate hold does not mean monetary tightening has ended. Canada’s central bank could still lift interest rates, depending on incoming economic data.
- Rate cuts do not appear likely, at least in the short term, meaning interest rates will remain higher for longer.
- Late in the week, Statistics Canada announced Canada’s economy added 39,900 jobs in August, reversing the drop in employment from July. The unemployment rate held steady at 5.5%. Despite some recent softness in Canada’s labour market, August’s data shows it is still relatively strong, with tight conditions.
The U.S. service sector expands at a quicker pace
- Service sector activity in the U.S. expanded more quickly in August compared to July, benefiting from stronger new orders, employment and business activity.
- The ISM Services Purchasing Managers Index rose to 54.5 in August from 52.7 in July, beating expectations and marking its highest reading since February 2023.
- The U.S. service sector is helping to prop up the U.S. economy, particularly with the manufacturing sector continuing to perform at lacklustre levels.
- The strength in the service sector compared to the weakness in the manufacturing sector may be pointing to an overall shift in consumer spending from tangible goods to more experience-related expenditures.
China posts fourth straight decline in exports
- Exports from China suffered another decline in August, falling by 8.8% year‑over‑year. August’s decrease was, however, smaller than July’s 14.5% drop.
- This was the fourth consecutive decline amid a drop in shipments of aluminum and grain. Exports to the U.S., Europe and other Asian countries slumped in August.
- The drop suggests still relatively muted consumer and business demand globally, weighing on China’s economy.
- Imports also fell, but at a slower pace, dropping by 7.3% year-over-year. China’s trade surplus ended August at US$68.4 billion (C$92.9 billion), narrowing from the previous month.
- Meanwhile, activity in China’s service sector moderated in August to its slowest pace since December.
Factory orders slump in Germany
- Factory orders in Germany dropped by 11.7% in July, the sharpest decline since April 2020, at the onset of the pandemic.
- This was the first drop in four months as orders for transportation equipment, electronics and machinery fell over the month. Domestic and foreign demand were muted during the month, weighing on orders.
- The drop in factory orders is another negative for this critical sector of Germany’s economy, the largest in Europe. Germany’s economic activity has weakened over the last several quarters, partly due to its struggling manufacturing sector.
- Across Europe, retail sales dropped by 0.2% in July, reversing two straight monthly gains.
- Finally, a third and final estimate showed Europe’s economy expanded by 0.1% over the second quarter of 2023, matching the first quarter’s growth rate.
Les marchés boursiers mondiaux se sont inclinés au cours de la semaine s’étant terminée le 11 septembre, alourdis par les commentaires des banques centrales laissant entrevoir de nouvelles hausses de taux. Les données économiques publiées cette semaine ont été mitigées avec d’une part l’amélioration de l’activité du secteur des services de plusieurs économies majeures, et d’autre part, l’affaiblissement du secteur manufacturier. L’indice composé S&P/TSX a terminé la semaine en territoire négatif, miné par le secteur des technologies de l’information. Le marché des actions américain s’est également replié. Le prix du pétrole a grimpé tandis que celui de l’or est tombé. Le rendement des obligations à 10 ans des gouvernements canadien et américain a progressé pendant la semaine.
Statu quo de la banque centrale canadienne
- Comme on s’y attendait, la Banque du Canada (BdC) a maintenu son taux d’intérêt à un jour à 5,00 %, son sommet depuis 2001.
- La BdC a opté pour le statu quo parce que l’économie canadienne a ralenti, notamment au deuxième trimestre où elle s’est contractée. Pendant ce temps, l’inflation a poursuivi sa descente.
- Cependant, la pause de septembre ne signifie en rien que le resserrement monétaire est chose du passé. En effet, si les prochaines données économiques le justifient, la banque centrale canadienne pourrait fort bien relever de nouveau les taux d’intérêt.
- Il semble peu probable qu’elle les abaisse, du moins sous peu, ce qui signifie que les taux d’intérêt resteront élevés pendant encore un bon moment.
- Vers la fin de la semaine, Statistique Canada a rapporté que l’économie canadienne s’était enrichie de 39 900 emplois en août alors qu’elle en avait perdu en juillet. Le taux de chômage est demeuré stable à 5,5 %. Bien que le marché du travail canadien se soit quelque peu relâché dernièrement, les chiffres d’août révèlent qu’il demeure relativement robuste, quoique serré.
Aux États-Unis, accélération du secteur des services
- Aux États-Unis, le secteur des services a progressé plus rapidement en août qu’en juillet, grâce à la forte activité en matière de nouvelles commandes, d’emploi et de commerce.
- L’indice ISM des directeurs d’achats du secteur des services s’est élevé à 54,5 en août alors qu’il était à 52,7 en juillet, surpassant ainsi les attentes et atteignant son point culminant depuis février 2023.
- Le secteur des services américain contribue au maintien de l’économie des États‑Unis, surtout avec un secteur manufacturier qui continue d’être médiocre.
- Le fait que le secteur des services soit vigoureux tandis que le secteur manufacturier reste faible pourrait indiquer que les habitudes des consommateurs soient en train de changer, ces derniers préférant dépenser pour des expériences au détriment de biens tangibles.
En Chine, quatrième déclin consécutif des exportations
- Les exportations chinoises ont encore décliné en août, cette fois de 8,8 % par rapport à l’an passé. Cette régression a toutefois été moins marquée que celle de 14,5 % de juillet.
- Il s’agit du quatrième recul consécutif alors que les expéditions d’aluminium et de céréales sont en baisse. Les exportations vers les États-Unis, l’Europe et d’autres pays asiatiques ont chuté en août.
- On peut en déduire que la demande des consommateurs et des entreprises demeure dans son ensemble plutôt maussade, ce qui pèse sur l’économie chinoise.
- Les importations ont également dépéri de 7,3 % par rapport à l’année dernière, quoique de façon moins prononcée. Le surplus commercial chinois a terminé le mois en affichant 68,4 milliards $ US (92,9 milliards $ CA), soit moins qu’au mois précédent.
- Simultanément, l’activité du secteur des services de la Chine a décéléré jusqu’à atteindre sa vitesse la plus lente depuis décembre.
En Allemagne, effondrement des commandes de produits manufacturés
- En Allemagne, les commandes de produits manufacturés ont battu en retraite de 11,7 % en juillet, soit la débâcle la plus saisissante depuis avril 2020, au début de la pandémie.
- Il s’agit du premier recul en quatre mois, les commandes de matériel de transport, d’appareils électroniques et de machineries s’étant anémiées. La demande en provenance tant du pays que de l’étranger a été inconsistante, ce qui s’est bien entendu répercuté sur les commandes.
- Cette chute des commandes pour des produits manufacturés est un autre revers pour ce secteur essentiel de l’économie allemande, la première en importance de l’Europe. L’activité économique allemande s’est affaiblie au cours des derniers trimestres, en partie à cause des difficultés qu’éprouve le secteur manufacturier.
- À travers l’Europe, les ventes au détail ont perdu 0,2 % en juillet, mettant ainsi fin à deux mois consécutifs de regain.
- Finalement, une troisième et finale estimation a révélé que l’économie européenne a connu au second trimestre de 2023 une expansion de 0,1 % égale à celle du premier trimestre.
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