Your weekly commentary – For the week ended September 25 – From Our Partners
Global equity markets fell over the week ended September 25. Expectations that the U.S. Federal Reserve Board (“Fed”) would keep interest rates high for longer weighed on investor sentiment. In Canada, the S&P/TSX Composite Index dropped, dragged down by the Information Technology sector. U.S. equities, as measured by the MSCI USA Index, also declined. Oil and gold prices finished largely unchanged over the week. Yields on 10‑year government bonds in Canada and the U.S. rose over the week.
Canadian inflation edges higher
- Canada’s inflation continued to move higher in August, reaching 4.0%. August’s rate was above economists’ expectations.
- Driving inflation higher was a rise in gasoline prices, which rose by 0.8% year‑over‑year. Another key contributor was increasing shelter costs, in particular rental expenses.
- Core inflation, which excludes more volatile items, also edged higher in August.
- The Bank of Canada (“BoC”) released its Summary of Deliberations from its last meeting, which showed officials wanted to avoid generating any expectation among markets that the central bank would look to reduce rates. Instead, the BoC will monitor economic data and could raise rates again should higher inflation persist.
- Canadian consumers again showed relative resilience in July, pushing retail sales higher by 0.3%. However, tight financial conditions may catch up with Canadians, as Statistics Canada estimated retail sales dropped by 0.3% in August.
Fed holds steady
- The Fed held its September meeting last week and concluded it by announcing it was holding its federal funds rate steady at a target range of 5.25%–5.50%.
- The pause may be temporary. The Fed’s statements showed most officials believe another rate increase this year is warranted to help bring down inflation to its target.
- he U.S. central bank will monitor economic data ahead of future decisions.
- Another rate hike from the Fed seems likely this year, which could impact many households and businesses struggling amid tight financial conditions.
BoE maintains status quo on rates
- The Bank of England (“BoE”) defied economists’ expectations, electing to hold its policy interest rate steady at 5.25%.
- September’s rate hold by the BoE marks its first meeting without an interest rate increase since 2021, showing just how aggressive the BoE has been in its battle against decades-high inflation.
- The U.K. central bank believes its rate hikes over the past year have helped pull down inflation, which allowed it to pause at this meeting and monitor incoming data.
- Despite the rate hold, the BoE noted it would be willing to raise rates again if inflation does not keep coming down.
Muted demand weighs on global manufacturing
- Manufacturing activity has struggled to gain traction across the world this year. Weighing heavily on the sector has been a drop in new orders, suggesting tight financial conditions are affecting demand. Manufacturing is a critical sector in the strength of the global economy.
- The U.S. manufacturing sector contracted for a fifth straight month, weighing on the U.S. economy.
- Manufacturing activity continues to stumble in Europe. Its largest economy, Germany, saw manufacturing shrink again in September, which has weighed heavily on economic activity.
- In Japan, manufacturing activity contracted faster in September compared to August, hindered by a drop in new orders.
Les marchés d’actions mondiales se sont inclinés au cours de la semaine s’étant terminée le 25 septembre. La perspective que la Réserve fédérale américaine (Fed) maintienne les taux d’intérêt élevés pendant encore plus longtemps a assombri l’humeur des investisseurs. Au Canada, l’indice composé S&P/TSX a perdu du terrain, ralenti par le secteur des technologies de l’information. Les actions américaines, mesurées par l’indice MSCI USA, ont également fini la semaine en retrait. Les prix de l’or et du pétrole n’ont pour ainsi dire pas bougé cette semaine. Le rendement obligataire des bons à 10 ans des gouvernements canadien et américain a grimpé au cours de la semaine.
Remontée du taux d’inflation au Canada
- Au Canada, l’inflation a poursuivi son ascension en août jusqu’à atteindre 4,0 %. Ce pourcentage excède les prévisions des économistes.
- La hausse de l’inflation est imputable à celle du prix de l’essence qui a monté de 0,8 % en un an. La flambée du coût de l’habitation, en particulier des logements locatifs, a également contribué à ce regain.
- L’inflation de base, qui exclut certaines catégories de prix plus volatiles, a elle aussi progressé en août.
- La Banque du Canada (BdC) a publié le Résumé des délibérations de sa dernière rencontre. On constate en le lisant que les administrateurs ont voulu éviter de faire germer sur le marché l’espoir que la banque centrale pourrait contempler l’idée de réduire les taux. La BdC va plutôt suivre de près les indicateurs économiques et elle pourrait encore majorer les taux si l’inflation persiste.
- Les consommateurs canadiens ont une fois de plus montrer leur résilience en faisant croître les ventes au détail de 0,3 % en juillet. Toutefois, les conditions financières serrées pourraient avoir rattrapé les Canadiens, car Statistique Canada estime que les ventes au détail ont reculé de 0,3 % en août.
La Fed reste sur ses positions
- La Fed a tenu sa rencontre de septembre la semaine passée, à l’issue de laquelle elle a annoncé maintenir le taux de ses fonds fédéraux à sa fourchette actuelle de 5,25 % à 5,50 %.
- Cette pause pourrait être temporaire. Selon le communiqué de la Fed, la plupart des administrateurs croient qu’il sera nécessaire de relever une fois de plus les taux cette année si l’on veut ramener l’inflation à sa cible.
- La banque centrale américaine analysera les données économiques avant de prendre ses décisions futures.
- La Fed va vraisemblablement augmenter encore les taux cette année, ce qui risque de frapper durement plusieurs ménages et entreprises qui ont du mal à composer avec les conditions financières serrées.
Statu quo du côté de la BDA
- La banque d’Angleterre a défié les économistes en conservant son taux directeur à 5,25 % lors de sa réunion de septembre.
- De toutes les rencontres qu’elle a tenues depuis 2021, c’est la première fois que celle‑ci opte pour le statu quo, ce qui prouve combien elle a combattu âprement cette inflation inégalée en des décennies.
- La banque centrale du Royaume-Uni croit que les hausses de taux de la dernière année ont contribué à rabattre l’inflation, ce qui lui a permis de décréter une pause lors de cette rencontre, pause pendant laquelle elle continuera de suivre de près les développements économiques.
- Quoi qu’il en soit, la banque a fait savoir qu’elle était prête à relever encore les taux si l’inflation ne battait pas en retraite.
Activité manufacturière mondiale au ralenti devant une demande anémiée
- Partout dans le monde, l’activité manufacturière a lutté pour ne pas perdre pied. Elle a gravement souffert du fait que les nouvelles commandes se sont raréfiées, ce qui suggère que les conditions financières serrées ébranlent la demande. Le secteur manufacturier est indispensable à la vigueur de l’économie mondiale.
- Aux États-Unis, il s’est contracté pour le cinquième mois de suite, ce qui pèse sur l’économie du pays.
- En Europe, cette activité demeure chancelante. Du côté de sa première économie, soit l’Allemagne, on notait un nouveau retrait en septembre, ce qui a eu de lourdes conséquences sur l’activité économique.
- Au Japon, l’activité manufacturière a décliné plus vite en septembre qu’en août, mise à mal par la diminution des nouvelles commandes.
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