Your weekly commentary – For the week ended November 13 – From Our Partners 

Global equity markets finished largely flat over the week ended November 13 with investors weighing a pause by global central banks against ongoing geopolitical tensions. In Canada, the S&P/TSX Composite Index edged lower, hindered by weakness in the Health Care sector. U.S. equities finished higher. Yields on 10-year government bonds in Canada and the U.S. moved higher. The price of oil and gold dropped over the week.

BoC weighing additional rate hikes

  • The Bank of Canada (“BoC”) released the Summary of Deliberations from its last meeting held in October.
  • BoC officials decided to hold steady at 5.00%, believing this current level is helping to soften demand, which has pulled down inflation and the Canadian economy.
  • Although several officials believe the economy will need more rate hikes to bring inflation down further, the group agreed to be patient and monitor the effects of its current level of monetary policy.
  • The meeting minutes expressed a more upbeat tone from the BoC, which could pave the way for more interest rate increases. While more rate increases are still in question, interest rates will remain at elevated levels for longer.

U.S. mortgage rates down, applications up

  • The Mortgage Bankers Association of America (“MBA”) reported that mortgage applications in the U.S. rose by 2.5% over the week ended November 3. The week’s increase marked the first in four weeks.
  • The rise in mortgage applications was partly due to falling mortgage rates. MBA says the rate on a 30-year fixed-rate mortgage fell to 7.61% from 7.86% in the previous week. The 25 percentage points drop marked the biggest weekly decline in a year.
  • The U.S. Federal Reserve Board held interest rates steady at its last meeting, with investors expecting minimal rate hikes over the near term, if any.
  • Following a couple of years of sluggish activity, the U.S. real estate market is showing signs of improvement. Real estate investment was shown to be a positive contributor to U.S. economic growth over the third quarter of 2023.

U.K. economic activity weakens

  • According to a preliminary estimate, the U.K.’s gross domestic product was largely unchanged (0.0%) in the third quarter of 2023 compared to the second quarter.
  • This marked the first time since the third quarter of 2022 the U.K. economy did not expand, owing to a drop in consumer and business spending.
  • Households and businesses are under immense pressure because of high inflation and rising borrowing costs.
  • Conversely, net exports were a positive contributor to the U.K. economy over the quarter.
  • The data reinforces the decision by the Bank of England to hold steady at its last meeting amid weaker economic conditions.

Exports from China fall sharply

  • Demand for China’s goods and services were again hampered by weakening global demand amid tight financial conditions.
  • Exports from China dropped by 6.4% year over year in October, which exceeded economists’ expectations and the 6.2% annual drop in September. Shipments for aluminum products and grains contributed to the decline.
  • Conversely, imports rose by 3.0% year over year in September. In response, China’s trade surplus narrowed to US$56.53 billion (C$78.06 billion).
  • With muted demand, consumer prices fell by 0.2% in October over the same month in the previous year.

Les marchés boursiers mondiaux n’ont guère bougé pendant la semaine ayant pris le 13 novembre, semaine au cours de laquelle les investisseurs ont supputé la possibilité que les banques centrales marquent une pause en raison des tensions géopolitiques actuelles. Au Canada, la faiblesse du secteur des soins de la santé a fait reculer l’indice composé S&P/TSX. Les actions américaines ont prospéré. Les rendements des obligations à 10 ans des gouvernements tant canadien qu’américain se sont améliorés. Les prix du pétrole et de l’or se sont repliés cette semaine.

La BDC s’interroge sur la pertinence de nouvelles hausses de taux

  • La Banque du Canada (BDC) a publié le Résumé des délibérations de sa rencontre d’octobre.
  • Les membres du conseil de direction de la BDC ont décidé de maintenir le taux à 5,00 %, estimant que le niveau actuel contribuait à assouplir la demande, ce qui en retour a fait régresser l’inflation et l’économie canadienne.
  • Bien que plusieurs gouverneurs croient que l’économie aura besoin d’un nouveau rehaussement des taux si l’on veut que l’inflation s’essouffle davantage, le conseil s’est entendu pour user de patience et suivre de près la portée qu’aura le degré actuel de sa politique monétaire.
  • Selon le procès-verbal de la réunion, la BDC se serait montrée plus optimiste, ce qui pourrait paver la voie à d’autres redressements des taux. Bien que cette éventualité demeure en suspens, il est toutefois assuré que les taux d’intérêt resteront élevés pendant plus longtemps.

Aux États-Unis, les taux hypothécaires baissent, les demandes montent

  • Selon la Mortgage Bankers Association of America (MBA) — association des banques américaines accordant des prêts hypothécaires —, les demandes auraient progressé de 2,5 % aux États-Unis pendant la semaine ayant pris fin le 3 novembre. Il s’agit d’une première remontée en quatre semaines.
  • La baisse des taux hypothécaires explique en partie l’augmentation de la demande. La MBA rapporte que le taux fixe pour un crédit sur hypothèque de 30 ans est tombé à 7,61 % contre 7,86 % la semaine précédente. Ce fléchissement de 25 points de pourcentage est le plus marqué en un an.
  • La Réserve fédérale américaine a conservé son taux d’intérêt à sa dernière rencontre. Les investisseurs espèrent qu’à court terme les prochaines majorations de taux, s’il y en a, seront minimales.
  • Après deux années d’apathie, le marché américain de l’immobilier montre des signes de reprise. Les investissements en immobilier ont joué un rôle dans la croissance économique des États-Unis pendant le troisième trimestre de 2023.

Au Royaume-Uni, l’activité économique dépérit

  • Selon une estimation préliminaire, le produit intérieur brut du Royaume-Uni a fait du surplace (0,0 %) au troisième trimestre comparativement au deuxième trimestre.
  • Il s’agit de la première fois depuis le troisième trimestre de 2022 que l’économie du Royaume-Uni n’avance pas. Ce statu quo est dû au fait que les consommateurs et les entreprises ont réduit leurs dépenses.
  • L’inflation élevée et les coûts d’emprunt croissants exercent une extrême pression sur les ménages et les entreprises.
  • À l’inverse, les exportations nettes ont contribué positivement à l’économie du Royaume-Uni ce trimestre-ci.
  • Ces chiffres confortent la décision qu’a prise la Banque d’Angleterre à sa dernière réunion de faire relâche, décision motivée par la fragilité des conditions économiques.

En Chine, les exportations dégringolent

  • En Chine, la demande pour les biens et les services a encore une fois été freinée par la défaillance de la demande mondiale en raison des conditions financières serrées.
  • Les exportations de la Chine ont décliné de 6,4 % d’une année sur l’autre en octobre, ce qui dépasse les attentes des économistes et la chute annuelle de 6,2 % de septembre. Les expéditions de produits en aluminium et de céréales ont participé à ce déclin.
  • À l’inverse, les importations ont enregistré un gain de 3,0 % d’une année sur l’autre en septembre. Par conséquent, le surplus commercial chinois s’est rétréci à 56,53 milliards $ US (78,06 milliards $ CA).
  • À cause de la pauvreté de la demande, les prix à la consommation ont perdu 0,2 % en octobre par rapport à pareille date l’an passé.

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