Your weekly commentary – For the week ended February 5 – From Our Partners

Global equities ended the week largely flat as investors considered whether the U.S. Federal Reserve Board (“Fed”) is likely to hold steady over the near-term. A better-than-expected jobs report in the U.S. raised expectations rates will stay higher for longer. The S&P/TSX Composite Index edged lower, hindered by weakness in the Energy sector. Conversely, U.S. equities posted a gain over the week. Yields on 10-year government bonds in Canada and the U.S. fell. Gold prices advanced, while the price of oil declined.

Canada’s economy expands in November

  • After five straight months of falling or no growth, Canada’s economy showed signs of life in November and potentially should for December. Canada’s economy benefited from a rise in its manufacturing and wholesale trade industries.
  • Statistics Canada (“StatsCan”) reports Canada’s economy expanded by 0.2% in November, topping the 0.1% increase economists had expected.
  • StatsCan also estimates the Canadian economy grew by 0.3% in December. If that holds, Canada may see an annualized growth of 1.2% in the fourth quarter.
  • Canada’s gross domestic product shrank by 1.1% in the third quarter.
  • Despite improving growth, activity remains relatively muted. Combined with falling inflation, the Bank of Canada may be preparing to lower interest rates this year.

The Fed signals rate cuts in 2024

  • At its first meeting of 2024, the Fed held the target range of its federal funds rate steady at 5.25%-5.50%, keeping it at its highest level since 2001.
  • The Fed noted it will carefully monitor incoming economic data before making any interest rate changes.
  • The Fed largely pushed back on potential rate cuts in the near-term, noting it won’t begin lowering rates until it is more comfortable inflation will drop to its 2% target. This signalled to markets that interest rate cuts are likely later this year.
  • Investors shifted expectations for rate cuts to later in the year, which pushed down equity markets at the time of the announcement.

Europe’s economy avoids technical recession

  • Europe’s economy continued to gain traction in the fourth quarter of 2023, narrowly avoiding a technical recession.
  • A flash estimate showed Europe’s gross domestic product posted no growth (0.0%) over the fourth quarter, after shrinking by 0.1% in the third quarter.
  • Europe’s economy continues to struggle under the weight of tight financial conditions, which has negatively impacted household and business activity.
  • Among the continent’s largest economies, Italy and Spain expanded, while the German economy shrank.
  • Over 2023, the European economy expanded by 0.5%. With weak conditions likely to persist and inflation subsiding, the European Central Bank may begin lowering rates this year.

China’s manufacturing sector contracts

  • Activity in China’s manufacturing sector continued to contract in January, hindered by a drop in new orders and exports.
  • January’s contraction was the fourth straight for China’s manufacturing sector.
  • The NBS Manufacturing Purchasing Managers Index edged higher to 49.2 in January from 49.0 in December.
  • Meanwhile, the services sector expanded, which helped push overall business activity higher over the month.
  • China’s economy has been negatively impacted by relatively muted demand, both domestically and from abroad. Markets are hoping Beijing will loosen policy further to help support economic activity.

Les marchés boursiers ont terminé la semaine dans un état stationnaire, semaine que les investisseurs ont passée à se demander si la Réserve fédérale américaine (Fed) allait ou non garder ses taux tels quels dans un proche avenir. Les chiffres sur l’emploi aux États-Unis ayant été meilleurs que prévu, on en a déduit que les taux risquaient de rester élevés pendant encore quelque temps. La faiblesse du secteur de l’énergie a entraîné l’indice composé S&P/TSX vers le bas. À l’inverse, les actions américaines ont tiré profit d’un gain cette semaine. Les rendements à 10 ans des obligations gouvernementales du Canada et des États-Unis ont reculé. Le prix de l’or a progressé, mais celui du pétrole a diminué.

L’économie canadienne a gagné du terrain en novembre

  • Après avoir passé cinq mois de suite à régresser ou à faire du surplace, l’économie du Canada a repris vie en novembre et devrait avoir poursuivi sur cette lancée en décembre. Les industries de la production manufacturière et des ventes en gros se sont redressées, ce qui a été profitable à l’économie canadienne.
  • Selon Statistique Canada (StatCan), l’économie canadienne a connu une expansion de 0,2 % en novembre, excédant ainsi les prévisions de 0,1 % des économistes.
  • StatCan estime que l’économie canadienne a enregistré une croissance de 0,3 % en décembre. Si la tendance se maintient, le Canada pourrait bénéficier d’une croissance annualisée de 1,2 % pour le quatrième trimestre.
  • Le produit intérieur brut du Canada a rétréci de 1,1 % au troisième trimestre.
  • Bien que la croissance s’améliore, l’activité reste relativement modeste. Si on ajoute à cela le fait que l’inflation fléchit, il se pourrait que la Banque du Canada se prépare à réduire les taux d’intérêt cette année.

La Fed signale son intention d’assouplir les taux en 2024

  • Lors de sa première rencontre de 2024, la Fed a maintenu les taux de ses fonds fédéraux à l’intérieur de la fourchette de 5,25 % à 5,50 %. Il s’agit du pourcentage le plus élevé depuis 2001.
  • La Fed a déclaré qu’elle analyserait soigneusement les prochaines données économiques avant de modifier de quelque façon que ce soit les taux d’intérêt.
  • La Fed a fermement démenti la possibilité d’abaisser les taux dans un proche avenir, ajoutant qu’elle le ferait uniquement quand elle aurait meilleur espoir que l’inflation atteindrait sa cible de 2 %. Les marchés en ont conclu que les taux se desserreraient probablement cette année.
  • Les investisseurs ont repoussé à plus tard leurs attentes quant à la baisse des taux, et les marchés boursiers ont battu en retraite à cette annonce.

L’économie européenne évite la récession technique

  • L’économie européenne a continué d’aller de l’avant au quatrième trimestre de 2023, évitant de justesse une récession technique.
  • Des données préliminaires ont montré que le produit intérieur brut de l’Europe n’avait pas bougé (0,0 %) au quatrième trimestre après s’être replié de 0,1 % au troisième.
  • L’économie européenne peine encore sous le poids des conditions financières serrées qui ont eu des conséquences pénibles sur les ménages et l’activité commerciale.
  • Deux des principales économies du continent, celles de l’Italie et de l’Espagne, ont prospéré, mais celle de l’Allemagne a flanché.
  • En 2023, l’économie européenne s’est étendue de 0,5 %. Comme les conditions actuelles et l’inflation vont sans doute perdurer, il est possible que la Banque centrale européenne entreprenne d’abaisser les taux cette année.

Le secteur manufacturier chinois se contracte

  • L’activité du secteur manufacturier chinois a continué de se contracter en janvier, freinée par la chute des nouvelles commandes et des exportations.
  • L’affaissement de janvier était le quatrième d’affilée pour le secteur manufacturier de la Chine.
  • L’indice NBS des directeurs d’achats a grimpé à 49,2 en janvier contre 49,0 en décembre.
  • Simultanément, le secteur des services s’est développé et a ainsi contribué à pousser vers le haut l’activité commerciale générale au cours du mois.
  • L’économie chinoise a souffert de l’apathie de la demande, tant intérieure qu’extérieure. Les marchés espèrent que Beijing assouplira suffisamment sa politique pour soutenir l’activité économique.

Leave a Reply

Your email address will not be published. Required fields are marked *