Your weekly commentary – For the week ended February 26 – From Our Partners
Global equity markets moved higher over the week ended February 26 after relatively strong earnings announcements from several corporate heavyweights, including technology and artificial intelligence leader NVIDIA Corp. In Canada, the S&P/TSX Composite Index advanced, led by the Consumer Staples sector. U.S. equities advanced over the week. The price of oil fell, while gold prices moved higher. Yields on 10-year government bonds in Canada and the U.S. declined.
Canada’s inflationary pressures soften
- Canada’s inflation rate softened considerably in January, suggesting that restrictive interest rates are helping to pull down inflation.
- The inflation rate was 2.9% in January, down from the 3.4% rate posted in December. January’s rate was also below the 3.3% rate economists had expected.
- Gasoline prices continued to decline, helping to drag down overall inflationary pressures. The price growth of food moderated in January.
- While January’s decline was welcomed by market participants, it remains above the Bank of Canada’s (“BoC”) 2% target rate, likely keeping the BoC on the sidelines from lowering rates in the first quarter.
- Despite elevated inflation, Canadian consumers showed their relative strength in December, with retail sales rising by 0.9%.
U.S. mortgage rates head higher
- Recent data shows that U.S. real estate market activity remains uncertain, with higher rates continuing to weigh on demand.
- The Mortgage Bankers Association of America (“MBA”) reported that mortgage applications in the U.S. fell by 10.6% over the week ended February 16, their second straight decline. This marked the largest decline in applications in 2024 so far.
- MBA also reported that the rate on a 30-year fixed-rate mortgage rose from 6.87% to 7.06% over the same week. Expectations that the U.S. Federal Reserve Board (“Fed”) might keep rates higher for longer is keeping yields elevated, thus keeping mortgage rates high.
- Meanwhile, sales of existing homes in the U.S. rose by 3.1% in January, the second increase in the past eight months.
- Minutes from the Fed’s last meeting showed officials believe that rates have likely peaked, but the U.S. central bank needs more proof that inflation will come back to its 2% target before beginning its pivot.
PBOC cuts key interest rate
- Markets have been calling for China’s central bank to loosen policy to help support economic conditions in the country.
- The People’s Bank of China (“PBOC”) elected to lower one of its key policy rates to help support the struggling property market.
- The PBOC reduced its five-year loan prime rate (“LPR”) by 25 basis points to 3.95%. The five-year LPR is a reference rate for mortgages in China. The PBOC hopes this might help stabilize China’s challenged property market.
- The one-year LPR was held steady at 3.45% at the PBOC’s February fixing.
Europe notches a small decline in inflation
- A final estimate showed Europe’s inflation rate edged lower in January, remaining above the European Central Bank’s (“ECB”) 2% target.
- Europe’s inflation rate was 2.8% in January, down from the 2.9% rate posted in December. Price growth slowed for food, alcohol and tobacco, while energy prices fell by 6.3% year-over-year.
- The core inflation rate, which excludes more volatile items such as food and energy, declined from 3.4% to 3.3% in January, its lowest rate since March 2022.
- The ECB has been relatively adamant that rates must remain restrictive for longer as the fight against inflation is not yet over.
Les marchés boursiers mondiaux ont repris de la vigueur au cours de la semaine ayant pris fin le 26 février à l’annonce des gains considérables réalisés par plusieurs entreprises d’importance, dont NVIDIA Corp., chef de file en technologie et en intelligence artificielle. Au Canada, le secteur des biens de consommation de base a propulsé l’indice composé S&P/TSX vers l’avant. Les actions américaines ont gagné du terrain cette semaine. Le prix du pétrole a perdu du terrain tandis que celui de l’or en a gagné. Les rendements à dix ans des obligations gouvernementales du Canada et des États-Unis ont décliné.
Au Canada, les pressions inflationnistes se relâchent
- Au Canada, l’inflation a considérablement reculé en janvier, ce qui laisse entendre que les taux d’intérêt contraignants contribuent à la juguler.
- L’inflation se situait à 2,9 % en janvier, en baisse des 3,4 % de décembre. Elle a également été inférieure à la prédiction de 3,3 % des économistes.
- Le prix de l’essence a poursuivi sa descente et ainsi participé à infléchir les pressions inflationnistes globales. La croissance des prix des aliments s’est ralentie en janvier.
- Bien que l’allégement de janvier ait été applaudi par les participants au marché, l’inflation demeure au-dessus de la cible de 2,0 % de la Banque du Canada (BDC), ce qui pourrait inciter celle-ci à ne pas abaisser les taux d’intérêt au premier trimestre.
- En dépit de l’inflation toujours élevée, les consommateurs canadiens ont continué de répondre à l’appel en décembre et les ventes au détail ont gagné 0,9 %.
Aux États-Unis, les taux hypothécaires remontent
- Les derniers chiffres indiquent que le marché de l’immobilier reste incertain en raison des taux élevés qui freinent la demande.
- La Mortgage Bankers Association of America (MBA) a révélé que les demandes d’emprunts hypothécaires ont dégringolé de 10,6 % au cours de la semaine ayant pris fin le 16 février. Il s’agissait du deuxième affaissement de suite et du plus important jusqu’à ce jour en 2024.
- La MBA a aussi rapporté que le taux fixe à 30 ans est passé de 6,87 % à 7,06 % pendant cette même semaine. Le fait que l’on s’attende à ce que la Réserve fédérale américaine (Fed) maintienne les taux élevés plus longtemps que prévu est favorable aux rendements et, par conséquent, encourage les taux hypothécaires à rester hauts.
- Pendant ce temps, les ventes de maisons existantes ont enregistré un gain de 3,1 % en janvier, le second des huit derniers mois.
- Selon le procès-verbal de la dernière rencontre de la Fed, les administrateurs croient que les taux ne devraient plus monter, mais que la banque centrale américaine doit s’assurer que l’inflation redescendra à 2 % avant d’amorcer son pivot.
La Banque populaire de Chine abaisse son taux directeur
- Les marchés ont demandé à la banque centrale de la Chine d’assouplir sa politique afin de soutenir l’économie du pays.
- La Banque populaire de Chine (BPC) a décidé de réduire l’un de ses principaux taux dans le but d’épauler le marché de l’immobilier qui est actuellement en grande difficulté.
- La BPC a desserré le taux préférentiel de prêt (LPR) à cinq ans de 25 points de base à 3,95 %. Ce taux en est un de référence pour les prêts hypothécaires en Chine. La BPC espère ainsi stabiliser le marché de l’immobilier chinois chancelant.
- Cependant, lors de sa décision de février, la BPC a maintenu à 3,45 % le LPR à un an.
En Europe, l’inflation baisse d’un cran
- Selon une estimation finale, le taux d’inflation a légèrement lâché prise en Europe en janvier, mais demeure supérieur à la cible de 2 % de la Banque centrale européenne (BCE).
- L’inflation européenne est passée de 2,9 % en décembre à 2,8 % en janvier. La montée des prix des aliments, de l’alcool et du tabac a ralenti et celui de l’énergie a chuté de 6,3 % d’une année sur l’autre.
- L’inflation de base, dont sont soustraits certains items plus volatils comme les aliments et l’énergie, a glissé de 3,4 % à 3,3 % en janvier, soit son taux le plus bas depuis mars 2022.
- La BCE croit fermement que les taux devront rester contraignants encore plus longtemps, car la bataille contre l’inflation n’est toujours pas gagnée.
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