Your weekly commentary – For the week ended March 18 – From Our Partners
Global equity markets swung between gains and losses as investors continued to closely monitor incoming economic data to predict the timing and size of interest rate cuts this year. In Canada, the S&P/TSX Composite Index advanced, led by the Materials sector. U.S. equities declined, dragged by the Real Estate sector. Yields on 10-year government bonds in Canada and the U.S. moved higher. Oil prices rose, while the price of gold declined.
Stocks drive up Canadians’ net worth
- Statistics Canada reported that Canadian household net worth rose by 1.8% to $16.4 trillion over the fourth quarter of 2023.
- Household net worth was boosted by strong stock and bond market returns over the quarter. The S&P/TSX Composite Index rose over 7% in the fourth quarter, while Canadian bonds advanced by 8%. Global equities and bond prices also increased.
- However, real estate weighed on the growth of net worth with the value of real estate falling by 1.9% over the quarter.
- Meanwhile, the debt-to-income ratio fell to 178.7% in the fourth quarter from 179.2% in the previous quarter, largely in response to slower mortgage borrowing and overall credit growth.
- Canadian households have proved their relative resilience despite ultra-tight financial conditions. The ongoing growth in wealth has helped the Canadian economy avoid any major recessions since the Bank of Canada started tightening monetary policy.
U.S. inflation unexpectedly rises
- The U.S. inflation rate was 3.2% in February, up slightly from the 3.1% rate in January, which was also the amount expected by economists.
- Gasoline prices continued to decline in February, but at a much slower pace compared to January. Shelter and food prices remained elevated over the month.
- Core inflation remained elevated in February, likely reinforcing the U.S. Federal Reserve Board’s (“Fed”) position to keep interest rates higher for longer. The core inflation rate, which excludes volatile items such as energy and food, was 3.8% in February, which was a tick above the 3.7% rate economists had expected.
- The Fed’s policy interest rate sits at a target range of 5.25%–5.50%. Its next meeting is on March 20 where it is expected to hold steady.
- Demand appears to be letting up in the U.S. economy. Retail sales rose by 0.6% in February, underwhelming economists who were expecting a 0.8% increase. This follows a 1.1% decline in the previous month.
Japan avoids a technical recession
- A second and final estimate showed Japan’s economy expanded by 0.4%, annualized, in the fourth quarter of 2023.
- Japan’s economy avoided falling into a technical recession after falling by 3.2% in the third quarter. There were fears the economy entered a technical recession when the first estimate showed a 0.4% decline.
- The economy was boosted by strong business investment and net exports. Exports, a critical component of Japan’s economy, grew by 2.6% over the quarter. However, domestic demand remained relatively weak with consumer spending falling again.
- Market participants are considering whether this could put the Bank of Japan on a path to begin raising its key interest rate from −0.10%.
U.K. gross domestic product grows to start 2024
- The U.K. economy expanded by 0.2% in January, reversing a 0.1% decline in December.
- Economic conditions in the U.K. are showing signs of improving early this year after falling into a technical recession in the fourth quarter of 2023.
- January’s growth was buoyed by a relatively strong services sector. Retail trade and education services grew. Conversely, industrial output continued to struggle amid relatively weak demand.
- The U.K. economy is showing signs of improvement as we begin 2024, but tight financial conditions are likely to persist with the Bank of England appearing content on leaving interest rates higher for longer.
Les marchés boursiers mondiaux ont oscillé entre gains et pertes pendant que les investisseurs continuaient de scruter les nouvelles données économiques et de spéculer sur la date et l’ampleur des réductions de taux d’intérêt de cette année. Au Canada, l’indice composé S&P/TSX a été poussé vers l’avant par le secteur des matériaux. Les actions américaines, alourdies par le secteur de l’immobilier, ont pour leur part décliné. Les rendements des obligations à 10 ans des gouvernements du Canada et des États-Unis ont augmenté. Le prix du pétrole a progressé, mais celui de l’or s’est incliné.
Les actions font croître la valeur nette des Canadiens
- Selon Statistique Canada, la valeur nette des ménages canadiens a prospéré de 1,8 % pour atteindre 16,4 billions $ au quatrième trimestre de 2023.
- La valeur nette des ménages a été stimulée par les forts retours sur investissement enregistrés sur les marchés des actions et des obligations au cours du trimestre. L’indice composé S&P/TSX a gagné plus de 7 % au quatrième trimestre et les obligations canadiennes 8 %. À l’échelle mondiale, le prix des actions et des obligations a également monté.
- Cependant, l’immobilier a ralenti la croissance de la valeur nette en chutant de 1,9 % durant le trimestre.
- Pendant ce temps, le ratio dette-revenu a reculé à 178,7 % au quatrième trimestre depuis celui de 179,2 % du trimestre précédent, principalement en raison du fléchissement des emprunts hypothécaires et du crédit dans son ensemble.
- Les ménages canadiens ont fait preuve d’une certaine résilience en dépit de la situation financière extrêmement contraignante. La croissance continue de la richesse a permis à l’économie canadienne d’éviter une récession majeure depuis le début du resserrement de la politique monétaire de la Banque du Canada.
Aux États-Unis, l’inflation s’accentue contre toute attente
- Aux États-Unis, l’inflation s’est chiffrée à 3,2 % en février, soit un peu au-dessus de celle de 3,1 % en janvier, ce qui correspondait aussi aux prévisions des économistes.
- Le prix de l’essence a poursuivi sa descente en février, mais plus lentement qu’en janvier. Le coût de l’habitation et des aliments est resté élevé.
- L’inflation de base est demeurée haute en février, ce qui risque fort de conforter la Réserve fédérale américaine (Fed) dans sa décision de conserver les taux d’intérêt tels quels pendant plus longtemps. Le pourcentage de l’inflation de base, dont sont exclus certains items plus volatils comme l’énergie et les aliments, s’établissait à 3,8 %, soit un cran au-dessus des 3,7 % qu’attendaient les économistes.
- Le taux directeur de la Fed se situe dans une fourchette cible de 5,25 % à 5,50 %. On prévoit que la Réserve le maintiendra à sa prochaine réunion du 20 mars.
- La demande semble s’essouffler au sein de l’économie américaine. Les ventes au détail se sont amplifiées de 0,6 % en février, à la déception des économistes qui espéraient une hausse de 0,8 %. Cela suit le déclin de 1,1 % du mois précédent.
Le Japon évite une récession technique
- Selon un second et final rapport, l’économie du Japon s’est redressée de 0,4 % sur une base annualisée au quatrième trimestre de 2023.
- Après avoir dégringolé de 3,2 % au troisième trimestre, l’économie du Japon a donc évité la récession technique, éventualité qu’on avait crainte lorsque la première estimation avait indiqué un recul de 0,4 %.
- L’économie a pu compter sur l’apport considérable des investissements commerciaux et des exportations nettes. En effet, les exportations, un élément crucial de l’économie du Japon, se sont relevées de 2,6 % au cours du trimestre. Toutefois, la demande intérieure reste plutôt faible étant donné que les dépenses des consommateurs ont de nouveau régressé.
- Les participants au marché se demandent si cela pourrait inciter la Banque du Japon à majorer son taux directeur qui est actuellement de -0,10 %.
Le produit intérieur brut du Royaume-Uni amorce 2024 en hausse
- L’économie britannique a connu une expansion de 0,2 % en janvier, inversant ainsi la contraction de 0,1 % de décembre.
- Les conditions économiques du Royaume-Uni semblent s’améliorer en ce début d’année après être entrées en récession technique au quatrième trimestre de 2023.
- La croissance de janvier a été soutenue par un secteur des services relativement vigoureux. Le commerce de détail et les services en éducation se sont rehaussés. À l’inverse, la production industrielle demeure aux prises avec une demande plutôt faible.
- À l’aube de 2024, l’économie britannique paraît se porter mieux, mais les conditions financières vont probablement persister, car la Banque d’Angleterre semble désireuse de maintenir les taux d’intérêt élevés pendant plus longtemps.
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