Your weekly commentary – For the week ended April 29 – From Our Partners

Global equity markets rose over the week ended April 29 as investors flooded back into stocks after pulling them lower over most of April. Strong earnings results in the U.S., particularly for several technology companies, boosted sentiment. In Canada, the S&P/TSX Composite Index moved higher, led by the Consumer Staples sector. U.S. equities also advanced over the week. Yields on 10-year government bonds in Canada and the U.S. increased. The price of oil edged higher, while gold prices finished down.

Canadian retail sales see another decline

  • Consumer demand in Canada is slowing amid tight financial conditions, adding to evidence the Bank of Canada might need to start lowering interest rates in the near term.
  • Retail sales in Canada fell by 0.1% in February, surprising economists who had expected a 0.1% increase. February’s decline was the second straight after falling by 0.3% in January.
  • Sales at gasoline stations fell over the month. Sales also fell for electronics, jewellery and shoes.
  • Canadians have cut back on discretionary spending, allocating money to necessities instead.
  • Statistics Canada estimated retail sales posted no growth in March, which likely points to flat retail sales growth over the first quarter. Consumer strength appears to be diminishing.

U.S. economic growth expands at slower pace

  • According to an advanced estimate, the U.S. economy expanded by 1.6%, annualized, in the first quarter of 2024. This marks its slowest pace of growth since contracting in the second quarter of 2022.
  • Consumer and business spending moderated over the quarter, weighing on growth. There was a sharp drop in exports, which dragged down the net exports reading, hindering U.S. economic activity.
  • A bright spot for the U.S. economy was its residential real estate market, which expanded at a faster pace in the first quarter compared to the previous quarter.
  • In addition to slower growth, concerns mounted that inflationary pressures remained high with the gross domestic product deflator rising to 3.1% in the quarter, from 1.7% in the previous quarter. Furthermore, the personal consumption expenditure price index, the U.S. Federal Reserve Board’s (“Fed”) preferred inflation gauge, rose to 2.7% in March from 2.5% in February.
  • The elevated inflationary pressures pushed back expectations of a rate cut from the Fed. Furthermore, slowing growth and still-high inflation left market participants wondering about the viability of a soft landing.

European manufacturing activity weakens

  • Struggles in Europe’s manufacturing sector persisted in April, resulting in a deeper contraction compared to March.
  • A preliminary estimate showed the Hamburg Commercial Bank Eurozone Manufacturing Purchasing Managers Index fell to 45.6 in April from 46.1 in the previous month. The sector continued to be dragged down by weak new orders, which also weighed on output and employment.
  • Despite another contraction in Europe’s manufacturing sector, overall business activity ticked higher in April. A strong services sector continues to drive business activity across Europe.
  • The weakness in Europe’s manufacturing sector has hindered the progress of the economies of several countries across Europe.
  • Weak demand, particularly for manufactured goods, could be providing additional signals to the European Central Bank that a rate cut might be warranted.

BoJ holds steady

  • The Bank of Japan (“BoJ”) held its policy interest rate steady at a target range of 0.00%–0.10% at its April meeting.
  • This comes after the BoJ raised its policy interest rate at its previous meeting, its first increase in seventeen years, ending an eight-year period of negative interest rates.
  • The BoJ hopes that the increase at its last meeting will help keep a lid on inflationary pressures, which have picked up in 2024.
  • In its outlook, the BoJ raised its projection for inflation over 2024 to 2.8% from 2.4%. Japan’s central bank also lowered its projection for Japan’s economic growth this year.
  • The BoJ appears likely to hold steady at these levels, at least for the near term, as it continues to monitor the path of inflation and the yen.

Les marchés boursiers mondiaux ont prospéré au cours de la semaine ayant pris fin le 29 avril, car les investisseurs sont revenus vers les actions après les avoir fait baisser le reste du mois. Aux États-Unis, les excellents rendements, notamment ceux de plusieurs entreprises technologiques, ont semé la bonne humeur. Au Canada, l’indice composé S&P/TSX a progressé sous l’impulsion des produits de consommation de base. Les actions américaines ont fait de même. Les rendements des obligations gouvernementales à 10 ans du Canada et des États-Unis ont augmenté. Le prix du pétrole a monté et celui de l’or a baissé.

Au Canada, les ventes au détail reculent encore

  • Au Canada, la demande des consommateurs ralentit en raison des conditions financières serrées, raison de plus pour laquelle la Banque du Canada pourrait devoir commencer à baisser les taux d’intérêt sous peu.
  • Les ventes au détail ont reculé de 0,1 % en février, à la surprise des économistes qui s’attendaient à une hausse de 0,1 %. Il s’agissait du second déclin d’affilée après celui de 0,3 % en janvier.
  • Les ventes ont chuté dans les stations-service pendant le mois, de même que celles de matériel électronique, de bijoux et de chaussures.
  • Les Canadiens ont coupé dans les dépenses discrétionnaires au profit des biens essentiels.
  • Selon Statistique Canada, les ventes au détail n’auraient pas augmenté en mars, ce qui signifie une croissance nulle au cours du premier trimestre. Le consommateur semble perdre des forces.

Au Canada, l’inflation se relève en mars

  • Selon une estimation préliminaire, l’économie américaine s’est redressée de 1,6 % sur une base annualisée au premier trimestre de 2024. Il s’agit de la reprise la plus lente depuis la contraction du deuxième trimestre de 2022.
  • Les consommateurs et les entreprises ont moins dépensé pendant le trimestre, ce qui nuit à la croissance. La baisse marquée des exportations s’est répercutée sur la balance commerciale et l’activité économique du pays.
  • Du côté des bonnes nouvelles, le marché de l’immobilier résidentiel américain a gagné plus de points au premier trimestre qu’au trimestre précédent.
  • En plus du ralentissement de la croissance, les pressions inflationnistes soulèvent également de l’inquiétude, car elles demeurent élevées, et le déflateur du produit intérieur brut a atteint 3,1 % pendant le trimestre contre 1,7 % au trimestre précédent. Qui plus est, l’indice du prix des dépenses personnelles de consommation, l’indicateur privilégié par la Réserve fédérale américaine (Fed) en matière d’inflation, s’est accentué de 2,5 % en février à 2,7 % en mars.
  • En raison de la recrudescence des pressions inflationnistes, la Fed retardera sans doute les premières coupes de taux. Par ailleurs, voyant que l’inflation s’entête et que la croissance décélère, les participants au marché s’interrogent sur la probabilité d’un atterrissage en douceur.

En Europe, l’activité manufacturière s’affaiblit

  • En avril, le secteur manufacturier européen a persisté à peiner sous l’effet d’une contraction plus profonde qu’en mars.
  • Selon une estimation préliminaire, en zone euro, l’indice des directeurs d’achats de la Hamburg Commercial Bank est passé à 45,6 en avril contre 46,1 en mars. Le secteur est toujours mis à mal par l’amoindrissement des nouvelles commandes, qui pèse en outre sur la production et l’emploi.
  • Bien que le secteur manufacturier européen se soit contracté en avril, l’activité commerciale dans son ensemble s’est intensifiée. La vigueur du secteur des services continue de propulser l’activité commerciale en Europe.
  • La faiblesse du secteur manufacturier a freiné la progression économique de plusieurs pays européens.
  • L’affaissement de la demande, particulièrement en matière de produits manufacturés, pourrait envoyer à la Banque centrale européenne un message de plus quant à la nécessité de réduire les taux.

La BoJ ne bouge pas

  • La Banque du Japon (BoJ) a maintenu son taux directeur entre 0,00 % et 0,10 % lors de sa rencontre d’avril.
  • À sa réunion précédente, elle avait haussé son taux directeur pour la première fois en 17 ans, mettant ainsi fin à huit années de taux d’intérêt négatifs.
  • La BoJ espère que cette récente hausse aidera à maîtriser les pressions inflationnistes qui se sont aggravées en 2024.
  • Dans ses perspectives, la BoJ a révisé le taux d’inflation en 2024 de 2,4 % à 2,8 %. Elle a également réévalué à la baisse ses projections touchant à la croissance économique du pays.
  • Il semble probable que la BoJ maintiendra sa position en ces matières, du moins à court terme, tout en continuant à suivre de près l’évolution de l’inflation et du yen.

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