Your weekly commentary – For the week ended June 24 – From Our Partners
Global equity markets finished largely flat over the week ended June 24. With some equity markets close to all-time highs, investors treaded cautiously amid still shaky economic conditions. In Canada, the S&P/TSX Composite Index declined, dragged down by the Utilities sector. U.S. equities advanced in a shortened trading week. Yields on 10-year government bonds in Canada advanced. Yields on 10-year government bonds in Canada advanced. Oil prices increased, while the price of gold declined.
Canadian retail sales shaky in 2024
- Canadian retail sales increased by 0.7% in April, rebounding from three consecutive monthly declines to start 2024.
- Sales for sporting goods and groceries, and at gasoline stations, moved higher over the month.
- However, the outlook for May dragged down the positive sentiment towards April’s result. Statistics Canada estimated that retail sales fell by 0.6% in May.
- The Bank of Canada’s Summary of Deliberations from its last meeting, where it began cutting interest rates, showed it could keep lowering rates this year, but likely at a gradual pace, with inflation still presenting a risk.
- Given another drop in retail sales in May, more rate cuts might be necessary to help support Canadian consumers struggling with tight financial conditions. More rate cuts could help stimulate consumer activity, benefiting Canada’s overall economic health.
U.S. retail sales edge higher
- Retail sales in the U.S. ticked slightly higher in May after falling in April, suggesting U.S. consumers might be feeling the pinch from tight financial conditions.
- Retail sales rose by 0.1% in May, which was below the 0.3% increase economists had expected.
- Sales for motor vehicles and sporting goods increased over the month, offsetting a decline in sales at gasoline stations.
- Data is beginning to suggest that U.S. consumer strength may be softening, which could impact overall economic growth.
- Along with moderating inflation, this could fuel the U.S. Federal Reserve Board to begin lowering interest rates in the third quarter.
BoE elects to hold at 5.25%
- At its June meeting, the Bank of England (“BoE”) held its policy interest rate steady at 5.25%. The BoE believes its restrictive policy is still warranted given the risks still posed by elevated inflationary pressures.
- While the U.K. inflation rate reached 2% in May, the BoE believes there are risks inflation could move higher.
- Still, the BoE appears to be inching closer to a rate cut. Two of nine officials voted to begin cutting rates at this meeting.
- The BoE acknowledged that inflation has come down, while the labour market and economy have been relatively soft, suggesting the central bank could be preparing to cut rates in the third quarter, potentially as early as July.
Global services sector activity stabilizing
- Global business activity, as measured by manufacturing and services sector activity, has shown signs of picking up in recent months, benefiting the global economy. The main driver has come from an improvement in the services sector, suggesting a shift in spending patterns, with the manufacturing sector in most regions and countries still struggling for traction.
- In the U.S., business activity improved in June, expanding at its fastest pace since 2022. The improvement was mostly due to higher growth in the services sector, which benefited from stronger new orders and output.
- Business activity in Europe slipped in June compared to May but still expanded. It was brought down by another drop in manufacturing sector activity, but a strong services sector kept a floor on business activity. Business activity also expanded in Japan.
- Improving business activity could be a good indicator of improving global economic conditions. Fitch Ratings released its most recent Global Economic Outlook, in which it revised its projection for global economic growth up to 2.6% this year from its earlier projection of 2.4%.
- Fitch believes better economic conditions in Europe, stronger demand in emerging markets, except for China, and loosening monetary policy globally should benefit economic activity in 2024.
Les marchés boursiers mondiaux n’ont guère bougé au cours de la semaine s’étant terminée le 24 juin. Bien que certains aient atteint des sommets inégalés à ce jour, les investisseurs ont fait preuve de prudence, car les conditions économiques restent instables. Au Canada, l’indice composé S&P/TSX a été entraîné vers le bas par le secteur des services publics. Les actions américaines ont progressé au cours de cette semaine écourtée. Les rendements des obligations gouvernementales à 10 ans du Canada sont allés de l’avant. Le prix du pétrole a augmenté, mais celui de l’or a baissé.
Les ventes au détail canadiennes oscillent en 2024
- Les ventes au détail canadiennes ont rebondi de 0,7 % en avril, après avoir essuyé trois déclins consécutifs depuis le début de 2024.
- Les ventes d’articles de sport, de produits alimentaires et dans les stations-service ont monté ce mois-ci.
- Toutefois, les perspectives quant à celles de mai ont jeté une douche froide sur la bonne humeur suscitée par les résultats d’avril. Statistique Canada a estimé que les ventes au détail ont chuté de 0,6 % en mai.
- Selon le procès-verbal de la dernière rencontre de la Banque du Canada, lors de laquelle celle-ci a commencé à réduire les taux d’intérêt, la banque pourrait poursuivre en ce sens, mais petit à petit, car l’inflation demeure menaçante.
- Si jamais les ventes au détail devaient subir une nouvelle baisse en mai, il faudrait peut-être diminuer encore les taux pour aider les consommateurs canadiens incommodés par les conditions financières difficiles. Ces coupes additionnelles pourraient stimuler l’activité de consommation et, par conséquent, la santé économique dans son ensemble.
Aux États-Unis, les ventes au détail remontent
- Aux États-Unis, les ventes au détail ont quelque peu remonté en mai après la chute d’avril, ce qui sous-entend que les conditions financières serrées incommoderaient les consommateurs américains.
- Les ventes au détail n’ont pris que 0,1 % en mai, soit moins que la hausse de 0,3 % qu’attendaient les économistes.
- Les ventes de véhicules à moteur et d’articles de sport ont augmenté pendant le mois, compensant ainsi le déclin des ventes dans les stations-service.
- Les données commencent à montrer que la résistance du consommateur américain s’amenuise, ce qui pourrait se répercuter sur la croissance économique.
- Si on ajoute à cela le fait que l’inflation s’essouffle, il se pourrait que la Réserve fédérale américaine juge bon de commencer à assouplir les taux d’intérêt au troisième trimestre.
La BoE tient bon à 5,25 %
- À sa rencontre de juin, la Banque d’Angleterre (BoE) a maintenu son taux directeur à 5,25 %. La BoE croit que sa politique restrictive est toujours pertinente puisque la possibilité que l’inflation exerce des pressions inflationnistes élevées demeure.
- Bien que l’inflation se soit chiffrée à 2 % en mai au Royaume-Uni, la BoE croit possible qu’elle remonte.
- Quoiqu’il en soit, la BoE semble se diriger vers une réduction des taux. Deux des neuf administrateurs avaient voté en faveur d’une diminution lors de cette rencontre.
- La BoE reconnaît que l’inflation a fléchi et que le marché du travail et l’économie se sont assouplis, ce qui invite à croire que la banque centrale pourrait se préparer à sabrer dans les taux au troisième trimestre, voire aussi tôt qu’en juillet.
L’activité mondiale du secteur des services se stabilise
- Soutenue par l’économie mondiale, l’activité commerciale internationale, telle que mesurée par celle du secteur de la production manufacturière et des services, semble vouloir se relever depuis quelques mois. C’est dû principalement au secteur des services dont l’amélioration suggère un changement dans les habitudes de consommation, tandis qu’à peu près partout dans le monde le secteur manufacturier peine à remonter la pente.
- Aux États-Unis, l’activité commerciale s’est améliorée en juin, plus rapidement qu’elle ne l’avait fait depuis 2022. Ce progrès est imputable surtout à la croissance marquée du secteur des services qui a été avantagé par un nombre plus élevé de nouvelles commandes et par une production plus forte.
- En Europe, bien que l’activité commerciale ait fléchi en juin par rapport à mai, elle s’est cependant accrue. Une nouvelle diminution de l’activité du secteur manufacturier l’a ralentie, mais la vigueur du secteur des services l’a soutenue. L’activité commerciale s’est également développée au Japon.
- Le fait que l’activité commerciale se redresse pourrait indiquer que les conditions économiques mondiales s’améliorent. Récemment, Fitch Ratings a relevé ses prévisions en matière de croissance économique mondiale de 2,4 % à 2,6 %.
- Fitch croit que l’amélioration des conditions économiques en Europe, l’augmentation de la demande sur les marchés émergents, sauf en Chine, et l’assouplissement de la politique monétaire mondiale devraient être bénéfiques pour l’activité économique en 2024.
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