Your weekly commentary – For the week ended July 15 – From Our Partners

Global equity markets moved higher over the week ended July 15. Slowing inflation in the U.S. pointed to the U.S. Federal Reserve Board (“Fed”) beginning to lower interest rates this year. Investors continue to be encouraged by signs the global economy is stabilizing and might avoid a recession. In Canada, the S&P/TSX Composite Index advanced, led by the Real Estate sector. U.S. equities also advanced over the week. Gold prices ticked higher, while the price of oil fell. Yields on 10-year government bonds in Canada and the U.S. dropped over the week.

U.S. inflation slows in June

  • The U.S. inflation rate fell more than expected in June, reaching 3.0% versus the 3.1% economists had expected.
  • This was down from the 3.3% rate in May and was the lowest since June 2023.
  • Price growth for energy and shelter moderated, while new and used car prices dropped. Food prices accelerated in June, albeit at a very slow pace.
  • The core inflation rate also came down in June.
  • With the Fed seeking signs of inflation coming down further, this report was likely a positive development. The drop in inflation reinforced expectations of a rate cut from the Fed in 2024.

Canadian real estate activity springs to life

  • The Canadian Real Estate Association reported that sales of existing homes in Canada surged higher in June, rising by 3.7%.
  • June’s increase was the first since March, and the largest since January. Real estate activity has been relatively muted in 2024 as high borrowing costs weigh on demand. High home prices provided another headwind for those seeking to purchase a home.
  • Markets are hoping the recent rate cut from the Bank of Canada, and potentially more this year, could restoke demand and improve market activity.
  • The other side of the market equation remains low. Supply of homes is relatively subdued. In response, the government has put its focus on increasing this supply.
  • However, builders have also been hindered by tight financial conditions, which is weighing on their plans. Building permits fell by 12.2% in May, the second drop in the past three months.

U.K. economy moves higher

  • The U.K. economy grew by 0.4% in May, benefiting from strong retail trade and construction activity.
  • This followed no growth (0.0%) in April.
  • This was a positive result for the newly elected Labour Party, who’ll look to add to this growth as they implement their new policies.
  • May’s expansion puts the economy on pace to grow over the second quarter. With the U.K. economy showing some signs of stabilizing, it could push back a potential rate cut from the Bank of England.

China’s imports weighed down by weak demand

  • Exports from China rose by 8.6% year-over-year in June, marking the largest gain since March 2023.
  • The increase came in part due to getting orders out the door ahead of potential tariffs. Shipments to the U.S., the European Union and Japan increased.
  • China’s growing trade surplus has worried other economies, resulting in additional tariffs in recent months, notably on electric cars.
  • On the other hand, imports fell by 2.3% in June over the same month in the previous year, the third decline in the last five months.
  • The significant drop in imports is concerning, suggesting weak domestic demand persists. This has weighed on China’s economy for several quarters.
  • While the government has begun implementing measures to help boost domestic demand and the economy overall, demand is likely to remain relatively soft in the months ahead.

Les marchés boursiers mondiaux ont progressé au cours de la semaine précédant le 15 juillet. Le fait que l’inflation ralentisse aux États-Unis invite à croire que la Réserve fédérale américaine (Fed) commencera à réduire les taux d’intérêt cette année. Les investisseurs continuent d’être encouragés par des signes montrant que l’économie mondiale se stabilise et pourrait échapper à la récession. Au Canada, l’indice composé S&P/TSX a été entraîné vers l’avant par le secteur de l’immobilier. Les actions américaines ont également prospéré. Le prix de l’or a monté, mais celui du pétrole a tombé. Les rendements des obligations gouvernementales à 10 ans du Canada et des États-Unis ont chuté cette semaine.

Aux États-Unis, l’inflation a ralenti en juin

  • Aux États-Unis, le taux de l’inflation a baissé plus qu’on ne s’y attendait en juin, atteignant 3,0 % et non 3,1 % comme l’avaient prédit les économistes.
  • C’est donc une baisse par rapport au taux de 3,3 % de mai, et le pourcentage le plus bas depuis juin 2023.
  • La croissance des prix de l’énergie et de l’habitation s’est modérée tandis que le coût des voitures neuves et d’occasion a fléchi. Le prix des aliments a monté en juin, quoique très lentement.
  • Le taux de l’inflation de base a aussi reculé en juin.
  • Alors que la Fed est à l’affût de signes indiquant que l’inflation s’essouffle bel et bien, ces chiffres sont des plus positifs. Ils appuient l’idée que la Réserve abaissera les taux en 2024.

Au Canada, le secteur de l’immobilier reprend vie

  • L’Association canadienne de l’immobilier a annoncé que les ventes de maisons existantes ont bondi de 3,7 % en juin au Canada.
  • Il s’agissait de la première hausse depuis mars et de la plus forte depuis janvier. L’activité du secteur de l’immobilier a été quelque peu mitigée en 2024 car le loyer de l’argent élevé freine la demande. Le fait que les maisons coûtent cher constitue un empêchement de plus pour ceux qui désirent en acheter une.
  • Les marchés espèrent que la récente baisse de taux de la Banque du Canada — et les prochaines s’il y en a — rétablira la demande et relancera l’activité de ce marché.
  • Le marché demeure lent en amont. L’inventaire est relativement bas. Par conséquent, le gouvernement travaille à accroître l’offre.
  • Les constructeurs ont également souffert des conditions financières serrées, qui ont contrarié leurs projets. Les permis de construire ont chuté de 12,2 % en mai. Il s’agit d’un deuxième recul en trois mois.

Au Royaume-Uni, l’économie remonte

  • L’économie du Royaume-Uni a gagné 0,4 % en mai grâce à la vigueur du commerce de détail et de la construction.
  • La croissance avait été nulle (0,0 %) en avril.
  • C’est un résultat positif pour le Parti travailliste récemment élu qui cherchera à alimenter cette croissance avec ses nouvelles politiques.
  • L’expansion de mai pousse l’économie vers la croissance pendant le second semestre. Cependant, comme l’économie du Royaume-Uni semble vouloir se stabiliser, la Banque d’Angleterre pourrait attendre avant de diminuer les taux d’intérêt.

Les importations chinoises plient sous le poids d’une demande anémiée

  • Les exportations de la Chine se sont redressées de 8,6 % d’une année sur l’autre en juin, ce qui représente le gain le plus considérable depuis mars 2023.
  • Cette augmentation s’explique en partie par le fait qu’on ait voulu expédier les commandes avant l’entrée en vigueur d’éventuels tarifs douaniers. Les envois vers les États-Unis, l’Union européenne et le Japon se sont intensifiés.
  • Le surplus commercial croissant de la Chine a soulevé l’inquiétude d’autres économies, ce qui a provoqué la mise en place au cours des derniers mois de droits de douane additionnels, notamment sur les voitures électriques.
  • Par ailleurs, les importations se sont affaissées de 2,3 % en juin par rapport à pareille date l’an passé. Il s’agit du troisième déclin en cinq mois.
  • La chute marquée des importations est préoccupante, car elle signale que la demande intérieure reste faible. Cette situation pèse sur l’économie chinoise depuis plusieurs trimestres.
  • Bien que le gouvernement ait commencé à instaurer des mesures destinées à stimuler la demande intérieure et l’économie dans son ensemble, il est probable que la demande demeurera relativement faible au cours des mois à venir.

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