Investment Commentary For The Week Ended September 02, 2022 From Our Partners

Global equity markets posted a loss over the week ended September 2 in anticipation that the U.S. Federal Reserve Board (“Fed”) would maintain its aggressive stance to tame inflation. Mixed economic data over the week did not give clear indication the Fed would need to scale back its interest rate increases in the near term. The S&P/TSX Composite Index was dragged down by the Materials sector. In the U.S., the S&P 500 Index declined, hindered by weakness in all 11 sectors. Ten-year government bond yields in Canada and the U.S. advanced over the week.

Canada’s economic growth misses expectations

  1. Canada’s gross domestic product expanded by 3.3%, annualized, in the second quarter of 2022, missing the 4.4% increase economists expected.
  2. It was, however, a faster pace than the 3.1% increase in the first quarter of 2022 and marked the fourth straight quarterly expansion.
  3. Household spending was a key driver of growth over the quarter but was partially offset by a drop in real estate investment.
  4. Statistics Canada estimated Canada’s economy may have contracted by 0.1% in July, suggesting a slowing global economy, higher prices and rising rates might be weighing on Canada’s economy.

Canadian manufacturing activity contracts

  1. For the first time since 2020, manufacturing activity in Canada contracted.
  2. The S&P Global Canada Manufacturing Purchasing Managers Index dropped to 48.7 in August, down from July’s 52.5 reading.
  3. A decline in new orders and output weighed on Canada’s manufacturing sector during the month. On the positive side, price pressures eased.
  4. The contraction in Canadian manufacturing is consistent with other data that indicates the Canadian economy is slowing in the third quarter.

Pace of hiring in the U.S. slows

  1. The U.S. economy added 315,000 jobs in August, slowing from the 526,000 jobs added during July.
  2. With the labour force participation rate rising to 62.4%, the unemployment rate ticked higher to 3.7%, from 3.5%.
  3. In its restructured National Employment Report, ADP reported that U.S. private businesses added 132,000 jobs in August, the lowest increase since early 2021
  4. U.S. job openings rose to 11.2 million in July, its first monthly increase since March 2022.
  5. With the jobless rate moving higher, investors were left to question how this may impact the Fed’s next interest rate increase.

Europe’s inflation remains elevated

  1. While inflation appears to be easing in some parts of the world, the story is not the same in Europe.
  2. Based on a preliminary estimate, Europe’s inflation rate reached a record high of 9.1% in August, boosted by higher prices for energy and food.
  3. Energy prices rose 38.3% year-over-year as the continent copes with an energy crisis largely due to the conflict in Ukraine.
  4. The harmonized inflation rate in Germany, Europe’s largest economy, rose to another all-time high of 8.8% in August.
  5. Persistently high inflation levels across Europe will likely lead to more interest rate increases by the European Central Bank.

Les marchés boursiers ont enregistré des pertes au cours de la semaine terminée le 2 septembre, principalement en raison du maintien prévu de mesures sévères par la Réserve fédérale américaine (la Fed) dans le but de venir à bout de l’inflation. La rafale de données économiques mitigées de cette semaine n’a par ailleurs guère contribué à indiquer clairement si la Fed allait bientôt assouplir sa politique haussière. L’indice composé S&P/TSX a terminé la semaine sur une note négative, malmené par la piètre performance du secteur des matériaux. Aux États-Unis, l’indice S&P 500 a plié sous le poids des pertes essuyées par les 11 secteurs qui le constituent. Sur le plan des rendements obligataires, les bons à 10 ans des gouvernements canadien et américain ont grimpé pendant la semaine.

Croissance économique canadienne : pas à la hauteur des prévisions

  1. Le produit intérieur brut (PIB) du Canada s’est accru de 3,3 % (rendement annualisé) au deuxième trimestre de 2022, mais a raté la cible de 4,4 % escomptée par les économistes.
  2. Toutefois, ce taux représentait une prise de vitesse par rapport à l’augmentation de 3,1 % enregistrée au premier trimestre de 2022, ainsi qu’un quatrième trimestre de croissance consécutive.
  3. Pendant le trimestre, les dépenses des ménages ont occupé une place centrale, mais ont été partiellement contrebalancées par une chute des placements immobiliers.
  4. Selon Statistique Canada, l’économie canadienne pourrait s’être contractée de 0,1 % en juillet, ce qui laisse entendre qu’elle souffre du ralentissement de l’économie mondiale, de la flambée des prix et de la montée des taux d’intérêt.

Activités dans le secteur manufacturier canadien

  1. Pour la première fois depuis 2020, l’activité manufacturière canadienne s’est contractée.
  2. Selon S&P Global, l’indice PMI manufacturier canadien s’est établi à 48,7 en août, en baisse par rapport au chiffre de 52,5 de juillet.
  3. Le ralentissement des nouvelles commandes et de la production a plombé le secteur manufacturier canadien ce mois-ci. Heureusement, la pression exercée par les prix s’est relâchée.
  4. La contraction du secteur manufacturier canadien est cohérente avec d’autres données indiquant que l’économie canadienne s’est faite plus lente au cours du troisième trimestre.

Aux États-Unis, le marché de l’emploi ralentit

  1. L’économie américaine a ajouté 315 000 emplois en août, ce qui est nettement moins que les 526 000 créés en juillet.
  2. Le taux de participation de la main-d’œuvre active s’élève désormais à 62,4 %, et le taux de chômage est passé de 3,5 % à 3,7 %.
  3. Dans son rapport national restructuré sur l’emploi, ADP a rapporté que le secteur privé américain a ajouté 132 000 emplois en août, soit l’augmentation la moins importante depuis le début de 2021.
  4. Aux États-Unis, le nombre d’offres d’emploi s’est chiffré à 11,2 millions en juillet, une première hausse mensuelle depuis mars 2022.
  5. La progression du chômage amène les investisseurs à se demander si cela pourrait influencer la prochaine hausse de taux d’intérêt de la Fed.

Inflation européenne toujours élevée

  1. Si l’inflation semble s’assouplir dans certaines parties du globe, il n’en va pas de même en Europe.
  2. Selon des données préliminaires, en août, l’inflation européenne, talonnée par la flambée du prix de l’énergie et des aliments, a atteint un sommet inégalé de 9,1 %.
  3. Par rapport à l’année dernière, le prix de l’énergie a bondi de 38,3 % en raison de la crise de l’énergie, provoquée en grande partie par le conflit en Ukraine, qui frappe le continent.
  4. En Allemagne — la plus importante économie européenne — le taux d’inflation harmonisé a atteint un nouveau sommet historique de 8,8 % en août.
  5. La montée persistante à la grandeur de l’Europe du taux de l’inflation risque fort de pousser la Banque centrale européenne à majorer encore les taux d’intérêt.

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