Investment Commentary For The Week Ended Oct 07, 2022 From Our Partners

Global equity markets started the week with robust gains as economic data pointed to a possible slowdown in monetary tightening by global central banks. Some of those gains pared back as the week progressed, particularly as the U.S. jobs report raised expectations that the U.S. Federal Reserve Board would remain aggressive. The S&P/TSX Composite Index advanced, led by gains in the Energy sector. In the U.S., the S&P 500 Index climbed higher, boosted by the strong performance of the Energy sector. The Energy sector on both sides of the border advanced due to rising oil prices as the Organization of the Petroleum Exporting Countries (“OPEC+”) announced significant production cuts. Yields on 10-year Government of Canada bonds rose, while those in the U.S. were largely unchanged.

Canada adds more jobs than expected

  1. The Canadian economy added just over 21,000 jobs in September, above the 20,000 job additions economists estimated.
  2. Both part- and full-time work added jobs in the month. Employment increased significantly in the educational services and social assistance industries.
  3. The unemployment rate fell to 5.2% in September from 5.4% in August.
  4. Meanwhile, average hourly earnings increased in September, while the participation rate ticked lower. The results suggest the labour market in the Canadian economy is still fairly tight.

Outlook a bit uncertain

  1. The jobless rate in the U.S. ticked lower in September to 3.5% from 3.7% in August, matching economists’ expectations.
  2. The economy added 263,000 jobs during the month, and despite the positive number, it was the lowest level since the second quarter of 2021.
  3. Still, the data suggested the labour market remains relatively tight.
  4. The outlook for the U.S. labour market, however, is uncertain. Challenger, Gray and Christmas Inc. reported that U.S.-based companies announced 29,989 job cuts in September, an increase from 20,485 in the previous month.
  5. The job cuts might suggest companies are looking to scale back staffing levels amid slowing economic conditions and tighter financial conditions.

OPEC+ to cut production

  1. At its October meeting, OPEC+ agreed to reduce oil production by 2 million barrels per day. The oil cartel hopes the move will help support oil prices, which have fallen in recent months.
  2. However, the actual drop might be lower than estimated as many members are currently producing below their targets.
  3. The U.S. federal government opposed the decision, hoping oil prices would continue to ease and relieve U.S. consumers amid surging inflation.
  4. Following the announcement, investors grappled with how it might affect inflation and future central bank moves.

European business activity contracts

  1. According to a final reading from S&P Global, European business activity contracted for the third consecutive month in September.
  2. The decline came as the region grapples with higher prices, rising rates, geopolitical tensions and an energy crisis.
  3. Activity across the service and manufacturing sectors contracted at a sharper pace in September over August, mainly due to weaker demand.
  4. The manufacturing sector was hindered by a drop in new orders and output, while the service sector suffered from a decline in backlogs of work, with intensifying price pressures.

Les marchés boursiers mondiaux ont commencé la semaine par une belle remontée motivée par les données économiques indiquant que les banques centrales risquaient d’assouplir leur politique monétaire. Cependant, cette remontée a perdu des plumes au fil de la semaine, en grande partie à cause du rapport sur l’emploi aux États-Unis qui semblait indiquer que la politique de la Réserve Fédérale américaine allait, au contraire, demeurer agressive. L’indice composé S&P/TSX a progressé sous l’impulsion des gains réalisés dans le secteur de l’énergie. Aux États-Unis, l’indice S&P 500 a grimpé, lui aussi stimulé par la performance du secteur de l’énergie. D’un côté comme de l’autre de la frontière, le secteur de l’énergie s’est relevé et le prix du pétrole a monté quand l’Organisation des pays producteurs de pétrole (OPEP+) a annoncé qu’elle allait fortement réduire sa production. Le rendement des obligations du Canada à 10 ans s’est étoffé tandis qu’aux États-Unis, il n’a pour ainsi dire pas bronché.

Plus d’emplois que prévu au Canada

  1. En septembre, l’économie canadienne s’est enrichie de plus de 21 000 emplois, alors que les économistes n’en prévoyaient que 20 000.
  2. Il s’agissait tant d’emplois à temps partiel qu’à temps plein. Une hausse significative a été enregistrée du côté de l’enseignement et de l’assistance sociale.
  3. Le taux de chômage est passé de 5,4 % en août à 5,2 % en septembre.
  4. Le salaire horaire moyen a augmenté en septembre tandis que le taux de participation de la population active a baissé. On peut en déduire que le marché du travail demeure plutôt tendu au Canada.

Un avenir quelque peu incertain

  1. Aux États-Unis, le taux de chômage a atteint 3,5 % en septembre contre 3,7 % en août, ce qui correspond aux attentes des économistes.
  2. Au cours du mois, l’économie a créé 263 000 emplois. Malgré tout, c’est la croissance la plus basse depuis le deuxième trimestre de 2021.
  3. Les données indiquent néanmoins que le marché du travail demeure relativement tendu.
  4. L’avenir s’annonce toutefois incertain pour le marché du travail américain. La société Challenger, Gray & Christmas Inc. a rapporté que les entreprises basées aux États‑Unis ont supprimé 29 989 emplois en septembre, soit plus que les 20 485 du mois précédent.
  5. Ce déclin pourrait indiquer que les entreprises cherchent à réduire leurs effectifs en raison du ralentissement économique et du resserrement des conditions financières.

L’OPEP+ réduit sa production

  1. Lors de leur réunion d’octobre, les membres de l’OPEP+ se sont entendus pour réduire leur production de 2 millions de barils par jour. Le cartel pétrolier espère ainsi soutenir le prix du pétrole, en recul ces derniers mois.
  2. Cependant, cette réduction pourrait se révéler moins importante que prévu puisque plusieurs membres produisent déjà en deçà de leur objectif.
  3. Le gouvernement fédéral américain s’est opposé à cette décision, car il espérait que le prix du pétrole continuerait de baisser, ce qui aurait permis aux consommateurs de souffler un peu en dépit de la flambée de l’inflation.
  4. À la suite de l’annonce, les investisseurs se sont demandé dans quel sens elle aiguillonnerait l’inflation et les futures décisions de la banque centrale.

Contraction de l’activité commerciale européenne

  1. Selon le dernier relevé de S&P Global, l’activité commerciale européenne s’est contractée en septembre pour le troisième mois de suite.
  2. Ce repli s’est produit alors que cette région du monde doit affronter la hausse des prix et des taux, les tensions géopolitiques et une inquiétante crise de l’énergie.
  3. L’activité dans le secteur manufacturier et dans celui des services s’est contractée plus rapidement en septembre qu’en août, surtout en raison de la chute de la demande.
  4. Le secteur manufacturier a souffert de la baisse des commandes et de la production, tandis que celui des services doit composer avec le fait que son carnet de commandes en souffrance rapetisse et que la pression due à la hausse des prix s’intensifie.

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