Investment Commentary For The Week Ended October 14 From Our Partners

Global equity markets finished lower over the week ended October 14 as concerns about inflation, monetary tightening and slowing global economic activity weighed on sentiment. The S&P/TSX Composite Index posted a loss, dragged down by the weak performance of the Materials sector. In the U.S., the S&P 500 Index finished lower. Oil prices declined. In its October monthly report, the Organization of the Petroleum Exporting Countries lowered its global oil demand outlook for the fourth quarter.

2023 outlook downgraded

  1. In its most recent World Economic Outlook, the International Monetary Fund (“IMF”) said the global economy will expand by 3.2% this year and slow to 2.7% in 2023.
  2. The growth rate in 2023 is a downward revision to the IMF’s earlier projection of 2.9% growth.
  3. The economic organization believes geopolitical tensions and tighter financial conditions may weigh on growth. Furthermore, policy tightening by central banks, including the U.S. Federal Reserve Board (“Fed”), will raise debt levels among developing economies.
  4. The IMF projects Canada’s economic growth to slow considerably, from 4.5% in 2021 to 3.3% this year and 1.5% in 2023.

Broad-based price pressures persist

  1. The U.S. inflation rate eased to 8.2% in September from 8.3% in the previous month but was still higher than the 8.1% rate economists expected.
  2. The slowdown comes amid easing price growth in energy product costs.
  3. Slower inflation will not likely deter the Fed from raising rates further in November as price pressures remain elevated and broad-based.
  4. The core inflation rate, which excludes food and energy, rose to a 40-year high in September, reaching 6.6%.

Pressure on Canada’s real estate market

  1. According to the Canadian Real Estate Association (“CREA”), sales of existing homes in Canada fell by 3.9% in September, exceeding the 1.0% decline economists estimated.
  2. The drop marked the seventh consecutive decline in home sales as demand across Canada wanes, with home prices at already elevated levels and higher mortgage rates.
  3. CREA noted prices did ease further in September, with the benchmark price falling by 1.4%.
  4. There are concerns some cities in Canada are seeing a housing market bubble. According to the UBS Global Real Estate Bubble Index, Toronto and Vancouver made the list of the top 10 housing market bubbles in the world.

U.K. economy struggling

  1. The U.K. economy shrank 0.3% in August, surprising economists expecting flat growth (0.0%).
  2. It marked the U.K. economy’s second decline in the past three months.
  3. Weakness in the manufacturing and service sector dragged the economy down over the month. Meanwhile, industrial production dropped by 1.8% in August, its third straight monthly decline.
  4. The U.K. economy appears to be burdened by rising prices, higher interest rates and geopolitical tensions.
  5. The Bank of England predicted a prolonged period of weakness for the U.K. economy. U.K. financial markets have been volatile in recent weeks largely due to policy changes by the new government.

Les marchés boursiers mondiaux ont terminé à la baisse la semaine ayant pris fin le 14 octobre. En effet, les inquiétudes concernant l’inflation, le resserrement monétaire et le ralentissement de l’activité économique mondiale ont assombri l’humeur des investisseurs. L’indice composé S&P/TSX a été tiré vers le bas par la faible performance du secteur des matériaux. Aux États-Unis, l’indice S&P 500 a lui aussi piqué du nez. Le prix du pétrole a chuté. Dans son rapport mensuel d’octobre, l’Organisation des pays exportateurs de pétrole a revu à la baisse ses prévisions quant à la demande mondiale de pétrole pour le quatrième trimestre.

2023 s’annonce plus difficile que prévu

  1. Dans sa dernière publication des Perspectives de l’économie mondiale, le Fonds monétaire international (« FMI ») a signifié que la croissance de l’économie mondiale augmentera de 3,2 % cette année, mais seulement de 2,7 % en 2023.
  2. La croissance pour 2023 est moindre que celle de 2,9 % antérieurement prévue par le FMI.
  3. L’organisation économique estime que les tensions géopolitiques et le tassement des conditions financières pourraient freiner la croissance. De plus, le resserrement des politiques des banques centrales, y compris de la Réserve fédérale américaine, fera monter les niveaux d’endettement des pays en développement.
  4. Le FMI prévoit que la croissance économique du Canada ralentira considérablement, passant de 4,5 % en 2021 à 3,3 % cette année puis à 1,5 % en 2023.

La pression sur les prix persiste

  1. Le taux d’inflation aux États-Unis a diminué à 8,2 % en septembre, contre 8,3 % le mois précédent, mais il demeure supérieur au taux de 8,1 % prévu par les économistes.
  2. Ce fléchissement survient alors que l’augmentation du prix des produits énergétiques ralentit.
  3. La légère baisse de l’inflation ne dissuadera probablement pas la Réserve fédérale d’encore relever ses taux en novembre, étant donné que la pression sur les prix demeure élevée et généralisée.
  4. Le taux d’inflation de base, qui ne tient pas compte des aliments et de l’énergie, a atteint 6,6 % en septembre, soit un sommet en 40 ans.

Le marché immobilier canadien s’essouffle

  1. Selon l’Association canadienne de l’immobilier (« ACI »), les ventes de maisons existantes au Canada ont reculé de 3,9 % en septembre, alors que les économistes prévoyaient une perte de 1,0 %.
  2. Il s’agit de la septième baisse consécutive en matière de ventes de maisons alors que la demande décline dans l’ensemble du Canada, que les prix sont très élevés et les taux hypothécaires en hausse.
  3. L’ACI a noté que les prix ont encore descendu en septembre, et que le prix de référence a fondu de 1,4 %.
  4. On craint que certaines villes du Canada soient aux prises avec une bulle du marché de l’habitation. Selon l’indice USB des bulles immobilières mondiales, Toronto et Vancouver figurent parmi les 10 villes présentant le plus grand risque de bulle immobilière au monde.

L’économie britannique est en difficulté

  1. L’économie britannique a reculé de 0,3 % en août, une surprise désagréable pour les économistes qui s’attendaient à ce qu’elle demeure stable (soit à 0,0 %).
  2. Il s’agit de la deuxième baisse de l’économie britannique en trois mois.
  3. La faiblesse du secteur manufacturier et de celui des services a entraîné l’économie dans sa chute au cours du mois. Pendant ce temps, la production industrielle a enregistré une perte de 1,8 % en août, sa troisième baisse mensuelle consécutive.
  4. L’économie britannique semble accablée par la hausse des prix et des taux d’intérêt et par les tensions géopolitiques.
  5. La Banque d’Angleterre a prédit que l’économie britannique connaîtrait une longue période de faiblesse. Au cours des dernières semaines, les marchés financiers britanniques se sont montrés volatils, essentiellement en raison des changements de politique instaurés par le nouveau gouvernement.

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