Investment Commentary – For the week Ended March 13 – From Our Partners

Global equity markets finished lower on expectations the U.S. Federal Reserve Board (“Fed”) would keep raising interest rates amid relatively strong economic conditions. The collapse of Silicon Valley Bank into receivership also weighed on sentiment. In Canada, the S&P/TSX Composite Index declined, dragged down by the Health Care sector. U.S. equities, as measured by the S&P 500 Index, also fell. Oil prices fell over the week, while the price of gold was largely unchanged. Yields on 10-year government bonds in Canada and the U.S. moved lower.

Bank of Canada holds steady

  • The Bank of Canada (“BoC”) held its benchmark overnight interest rate at 4.50%. For the first time in nine meetings, the central bank didn’t raise rates.
  • The hold was widely expected as the BoC signaled its intention to pause interest rate hikes amid weakening economic conditions and slowing inflation.
  • However, the BoC noted it would continue raising interest rates if warranted by economic conditions.
  • With the BoC’s path diverging from the Fed’s, the Canadian dollar came under pressure after the announcement.

The Fed likely to keep going higher

  • In congressional hearings, Fed Chair Jerome Powell indicated the Fed would likely keep raising interest rates to tame inflationary pressures and bring inflation back to its 2% target.
  • Powell also noted that recent economic data has been better than expected, heightening expectations the Fed could take interest rates higher than originally anticipated.
  • Market expectations grew that the Fed might be considering a bigger interest rate increase.
  • Powell eased these concerns, noting the Fed hasn’t yet made decisions for its March meeting.

North American labour markets proving resilient

  • The Canadian economy added 21,800 jobs in February, which doubled estimates and helped push the unemployment rate lower to 5.0% from 5.1% in January.
  • In the U.S., 311,000 jobs were added in February, also topping expectations of 225,000 job additions. With the participation rate ticking higher, the U.S. unemployment rate rose to 3.6%.
  • ADP reported U.S. private businesses also added more jobs than expected in the month.
  • Labour markets in North America appear relatively robust, which could keep the Fed on its rate-increase path and prompt the BoC to reconsider its decision to pause rate hikes.

Europe’s GDP growth stalls

  • According to a final estimate, the European economy posted no growth (0.0%) in the fourth quarter of 2022, marking a slowdown from the 0.4% expansion in the third quarter.
  • Europe’s economy was hindered by a drop in consumer and business spending.
  • Ultra-tight financial conditions weighed on spending over the quarter.
  • The European economy expanded by 3.5% in 2022, moderating from the 5.3% pace of growth in 2021.

Les marchés boursiers mondiaux ont terminé la semaine sur une note décevante, refroidis par la perspective que la Réserve fédérale américaine (Fed) continue de hausser les taux d’intérêt dans des conditions économiques relativement vigoureuses. La mise sous séquestre de la Silicon Valley Bank a également contribué à assombrir l’humeur générale. Au Canada, l’indice composé S&P/TSX a terminé la semaine en territoire négatif, miné par le secteur des soins de la santé. Les actions américaines, mesurées au moyen de l’indice S&P 500, ont également essuyé un revers. Le prix du pétrole a chuté pendant la semaine, tandis que celui de l’or a essentiellement fait du surplace. Sur le plan des rendements obligataires, les obligations à 10 ans des gouvernements canadien et américain ont battu en retraite pendant la semaine.

Pas de changement du côté de la Banque du Canada

La Banque du Canada a maintenu son taux directeur à un jour à 4,50 %. Il s’agit de la première fois en neuf rencontres où elle ne relève pas ses taux.

On s’attendait à cette pause depuis qu’elle avait signalé son intention d’interrompre les hausses de taux si les conditions économiques faiblissaient et si l’inflation ralentissait.

Cependant, la banque a indiqué qu’elle recommencerait à relever les taux d’intérêt si les conditions économiques l’exigeaient.

Parce que la position de la Banque du Canada diverge de celle de la Fed, le dollar canadien s’est retrouvé sous pression après l’annonce.

Nouvelle hausse du côté de la Fed

  • Lors des audiences du Congrès, Jerome Powell, le président de la Fed, a affirmé que celle-ci continuerait vraisemblablement de majorer les taux d’intérêt afin de freiner les pressions inflationnistes et de ramener l’inflation à sa cible de 2 %.
  • M. Powell a par ailleurs ajouté que les plus récentes données économiques étaient meilleures que prévu, ce qui est venu alimenter l’appréhension que la Fed puisse pousser les taux au-dessus du seuil escompté à l’origine.
  • Le marché croit de plus en plus que la Fed envisage un rehaussement plus important de sa fourchette de taux d’intérêt.
  • M. Powell a toutefois apaisé ces craintes en faisant remarquer que la Fed n’avait encore pris aucune décision en vue de la rencontre de mars.

Résilience du marché du travail nord-américain

  • L’économie canadienne s’est enrichie de 21 800 emplois en février, soit le double de ce qui était prévu, participant ainsi à faire reculer le taux de chômage à 5,0 % alors qu’il était de 5,1 % en janvier.
  • Aux États-Unis, il s’est ajouté 311 000 emplois en février, alors qu’on s’attendait à 225 000. En raison de l’augmentation du taux d’activité, le taux de chômage américain a grimpé à 3,6 %.
  • L’ADP a rapporté que les entreprises privées avaient créé plus d’emplois que prévu au cours du mois.
  • Le marché du travail nord-américain semble plutôt robuste, ce qui pourrait inciter la Fed à poursuivre ses hausses de taux et pousser la BDC à remettre en cause sa décision de les interrompre.

Marasme du PIB en Europe

  • Selon un rapport final, l’économie européenne n’a enregistré aucune croissance (0,0 %) au quatrième trimestre de 2022, ce qui représente donc un ralentissement par rapport à l’expansion de 0,4 % du troisième trimestre.
  • L’économie européenne a souffert de la baisse des dépenses des consommateurs et des entreprises.
  • Les conditions financières extrêmement serrées ont pesé lourd sur les dépenses au cours du trimestre.
  • L’économie de l’Europe a connu une expansion de 3,5 % en 2022, contre une accélération de la croissance de 5,3 % en 2021.

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