Your weekly commentary – For the week ended June 5 – From Our Partners

Global equity markets ticked higher over the week ended June 5. An agreement to extend the U.S. debt ceiling boosted investor sentiment. In Canada, the S&P/TSX Composite Index finished higher, led by the Real Estate sector. U.S. equities, as measured by the MSCI USA Index, advanced. Oil prices fell amid uncertainty about demand and relatively weak global economic conditions. The price of gold was largely unchanged. Yields on 10‑year government bonds in Canada and the U.S. declined.

Canada’s GDP grows more than expected

  • Canada’s economy expanded at an annualized pace of 3.1% over the first quarter of 2023, topping the 2.5% rate of growth economists estimated.
  • It was also a strong rebound from the 0.1% contraction posted in the fourth quarter, which was revised lower from its initial calculation of flat growth.
  • The Canadian consumer helped push growth higher over the quarter, with higher household consumption. A rise in next exports also contributed to growth but was partially offset by another drop in real estate investment.
  • Economic growth came in above the Bank of Canada’s (“BoC”) outlook. In response, market participants considered whether stronger growth and persistently elevated inflation could force the BoC to return to lifting interest rates.

Agreement reached on U.S. debt ceiling

  • As the June 5 deadline quickly approached, U.S. President Joe Biden and Republican Speaker Kevin McCarthy reached an agreement on the U.S. debt ceiling over the weekend of June 27.
  • June 5 was the date when the Treasury Department expected to run out of money to pay for existing obligations.
  • The President and Speaker communicated with their respective sides to finalize the deal. The House of Representatives and Senate both approved the bill, preventing a potential default.
  • Without a deal, a U.S. government default would likely have had a significant impact on its ability to raise funds and could have pushed the U.S. economy into a recession.

U.S. job openings show signs of still tight labour market

  • Job data released last week shows the U.S. labour market remains tight, which might keep the U.S. Federal Reserve Board on its path of tightening monetary policy.
  • Job openings in the U.S. rose to 10.1 million in April from 9.7 million in the previous month. It was the first monthly increase since December 2022.
  • Meanwhile, data from May showed the U.S. economy added 339,000 jobs, well above economists’ expectations.
  • While the U.S. unemployment rate ticked higher to 3.7% from 3.4% during the month, all signs point to a still strong U.S. labour market.

European inflation rate moderates

  • A flash estimate from EUROSTAT revealed Europe’s inflation rate moderated in May to 6.1%. Inflation was 7.0% in April.
  • If this holds, it would be the lowest rate of inflation since February 2022.
  • The drop in May’s inflation print was largely due to a decline in energy prices. Costs of services and non-energy industrial goods eased over May.
  • Despite May’s decline, it might not be enough to deter the European Central Bank (“ECB”) from continuing to lift interest rates. Inflation remains well above the ECB’s 2% target.

Business activity in China expands at slower pace

  • The NBS Composite Purchasing Managers Index showed business activity in China expanded in May, but slower than in April, suggesting China’s economy is experiencing uneven economic growth.
  • China’s service sector was the main driver of growing business activity, despite slowing in May. The sector benefited from easing lockdown restrictions.
  • Conversely, the manufacturing sector contracted for a second straight month in May, burdened by a drop in output and new orders.

Les marchés boursiers mondiaux se sont légèrement avancés au cours de la semaine ayant pris fin le 5 juin. L’accord visant à relever le plafond de la dette américaine à énergiser les investisseurs. Au Canada, l’indice composé S&P/TSX a progressé, mené par le secteur de l’immobilier. Les actions américaines, mesurées par l’indice MSCI USA, se sont aussi prévalues d’un gain. Le prix du pétrole a reculé devant l’incertitude quant à la demande et la faiblesse relative des conditions économiques mondiales. Le prix de l’or a essentiellement fait du surplace. En ce qui concerne les obligations à dix ans des gouvernements canadien et américain, leurs taux de rendement ont rebroussé chemin.

Au Canada, le PIB dépasse les attentes

  • L’économie du Canada a progressé de 3,1 % sur une base annuelle au premier trimestre de 2023, ce qui est mieux que le taux de 2,5 % qu’escomptaient les économistes.
  • C’est aussi un rebond marqué par rapport à la contraction de 0,1 % du quatrième trimestre, qui avait été revue à la baisse après qu’un résultat nul ait été anticipé.
  • Le consommateur canadien a contribué à cette augmentation trimestrielle, car les dépenses des ménages ont été plus élevées. La progression des exportations a également joué son rôle dans cette progression, mais elle a malheureusement été partiellement annulée par la chute des placements immobiliers.
  • La croissance économique a dépassé les prévisions de la Banque du Canada (BdC). De ce fait, les participants sur le marché se sont demandé si une croissance supérieure associée à une inflation élevée et persistante pourrait inciter la banque à reprendre ses hausses de taux.

Entente sur le plafond de la dette américaine

  • Voyant que l’échéance du 5 juin approchait à grands pas, le président des États-Unis, Joe Biden, et le président de la chambre des représentants, Kevin McCarthy, en sont arrivés à un accord sur le plafond de la dette américaine au cours de la fin de semaine du 27 juin.
  • Le 5 juin était la date à laquelle le département du Trésor avait établi qu’il n’aurait plus assez d’argent pour honorer ses présentes obligations.
  • Le Président et le président de la chambre ont communiqué avec leur parti respectif avant de finaliser l’accord. La Chambre des représentants et le Sénat ont approuvé le projet de loi, éliminant de ce fait une possible situation de défaut de paiement.
  • Sans cet accord, le défaut de paiement du gouvernement des États-Unis aurait eu des conséquences considérables sur sa capacité à lever des fonds et pourrait avoir poussé l’économie américaine vers la récession.

Aux États-Unis, les offres d’emploi indiquent que le marché du travail demeure serré

  • Les données sur l’emploi publiées la semaine dernière montrent que le marché du travail demeure serré, ce qui pourrait inciter le conseil de la Réserve fédérale américaine à poursuivre le resserrement de sa politique monétaire.
  • Aux États-Unis, les offres d’emploi se chiffraient à 10,1 millions en avril contre 9,7 millions en mars. Il s’agit de la première augmentation mensuelle depuis décembre 2022.
  • Par ailleurs, les données de mai révèlent que l’économie américaine s’est enrichie de 339 000 nouveaux emplois, ce qui excède largement les prévisions des économistes.
  • Bien que le taux de chômage ait grimpé de 3,4 % à 3,7 % au cours du mois, tout indique que le marché du travail américain est encore robuste.

Ralentissement du taux d’inflation en Europe

  • Selon une estimation sommaire d’Eurostat, le taux d’inflation européen aurait régressé à 6,1 % en mai. L’inflation s’élevait à 7,0 % en avril.
  • Si cela s’avère, il s’agirait du taux le plus bas depuis février 2022.
  • Le recul de l’inflation en mai est largement dû à la baisse du prix de l’énergie. Le coût des services et des biens industriels hors énergie a diminué en mai.
  • Mais le déclin de mai pourrait ne pas suffire à dissuader la Banque centrale européenne (BCE) de relever encore ses taux d’intérêt. L’inflation se maintient nettement au-dessus de la cible des 2 % de la BCE.

L’activité commerciale reprend lentement en Chine

  • L’indice NBS des directeurs d’achat montre que l’activité commerciale chinoise s’est améliorée en mai, mais plus lentement qu’en avril, ce qui indique que la croissance économique de la Chine est inégale.
  • Bien qu’il ait ralenti en mai, le secteur des services chinois a été le principal moteur de ce redressement. Ce secteur a bénéficié du relâchement des mesures sanitaires.
  • À l’opposé, le secteur manufacturier s’est contracté pour le deuxième mois consécutif en mai, freiné par le fléchissement des nouvelles commandes et de la production.

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