Your weekly commentary – For the week ended June 12 – From Our Partners

Global equity markets finished largely unchanged over the week ended June 12 as investors continued to digest economic data in anticipation of the next move by global central banks. The unexpected rate increase by the Bank of Canada (“BoC”) heightened expectations that rates may be higher for much longer. The S&P/TSX Composite Index fell, dragged down by the Health Care sector. U.S. equities, as measured by the MSCI USA Index, were relatively flat. Yields on 10-year government bonds in Canada and the U.S. moved higher. Oil prices fell over the week, while the price of gold rose.

BoC surprises markets with a rate hike

  • The BoC raised its benchmark overnight interest rate by 25 basis points to 4.75%.
  • The hike surprised economists who were widely expecting the BoC to hold steady at this meeting. Although, expectations that the BoC might return to hiking rates rose in recent weeks after Canada’s first-quarter growth came in higher than expected.
  • Canada’s central bank believes its interest rate increase was needed since demand pressures are still strong in Canada’s economy, which has kept inflation at elevated levels and boosted economic activity.
  • The BoC provided no clear direction for its next interest rate announcement but reiterated its commitment to bring down inflation further. The BoC will monitor the impact of tighter monetary policy on Canada’s economy.

Canada’s labour market pulls back

  • The Canadian economy lost 17,300 jobs in May, surprising economists expecting 21,300 job additions.
  • The loss marked the first job decline since August 2022.
  • Full-time employment dropped considerably during the month, while the part‑time sector added jobs. May’s decline was driven by a fall in self-employed workers.
  • Canada’s unemployment rate ticked higher to 5.2% in May from 5.0% in April.

Europe’s economy falls into a technical recession

  • Revisions to European gross domestic product revealed the region fell into a technical recession in the first quarter.
  • Economic growth was revised downward to a contraction of 0.1% in both the fourth quarter of 2022 and the first quarter of 2023.
  • Tighter financial conditions weighed on European households, dragging down spending and economic growth.
  • Despite the decline into a technical recession, the European Central Bank appears poised to keep raising interest rates at upcoming meetings as it grapples with high inflation.

China’s trade activity drops

  • Trade activity in the world’s second-largest economy fell considerably in May, suggesting global and domestic demand is weakening.
  • Exports from China declined by 7.5% year-over-year in May. Exports to key trading partners in the U.S. and Europe declined year-over-year.
  • Imports also declined, falling at an annual pace of 4.5% in May. A drop in steel and copper purchases drove May’s decline.
  • China’s trade surplus narrowed to US$65.81 billion in May over the previous month.

Les marchés boursiers mondiaux n’ont pour ainsi dire pas bougé au cours de la semaine ayant pris fin le 12 juin, car les investisseurs en étaient encore à assimiler les données économiques et à se demander quelle décision prendraient les banques centrales mondiales. La hausse inattendue des taux de la part de la Banque du Canada (BdC) est venue alimenter l’idée que les taux puissent demeurer élevés beaucoup plus longtemps. Au Canada, l’indice composé S&P/TSX a terminé la semaine en territoire négatif, miné par le secteur des soins de la santé. Les actions américaines, mesurées par l’indice MSCI USA, ont essentiellement fait du sur place. Les rendements des obligations à 10 ans des gouvernements canadien et américain ont remonté la pente. Le prix du pétrole a chuté pendant la semaine, tandis que celui de l’or s’est redressé.

La BdC surprend les marchés avec sa hausse de taux

  • La BDC a augmenté son taux de financement à un jour de 25 points de base pour l’établir à 4,75 %.
  • Cette hausse a étonné les économistes qui s’attendaient pour la plupart à ce que la banque garde le statu quo. Toutefois, la possibilité que la BdC recommence à majorer les taux avait été envisagée ces quelques dernières semaines quand on a appris que la croissance de l’économie canadienne du premier trimestre avait été supérieure aux prévisions.
  • La banque centrale canadienne estime que cette hausse s’impose parce que la pression exercée par la demande reste forte, ce qui entretient l’inflation et stimule l’activité économique.
  • La BdC n’a pas exprimé clairement ses intentions quant à sa prochaine annonce touchant aux taux d’intérêt, mais elle a répété qu’elle était déterminée à faire plier l’inflation. La banque va suivre de près l’effet qu’aura une politique monétaire plus stricte sur l’économie canadienne.

Recul du marché de l’emploi au Canada

  • L’économie canadienne a perdu 17 300 emplois en mai, ce qui a surpris les économistes qui s’attendaient à un ajout de 21 300 emplois.
  • Il s’agit des premières pertes d’emplois depuis août 2022.
  • Les postes à temps plein ont considérablement diminué au cours du mois, tandis que ceux à temps partiel se sont multipliés. Le déclin de mai a été causé par la baisse du nombre de travailleurs autonomes.
  • Au Canada, le taux de chômage est passé de 5,2 % en mai contre 5,0 % en avril.

L’économie européenne entre en récession technique

  • Les révisions du produit intérieur brut européen révèlent que ce territoire est entré en récession technique au cours du premier trimestre.
  • En effet, la croissance économique s’est en fait contractée de 0,1 % tant au quatrième trimestre de 2022 qu’au premier trimestre de 2023.
  • Le resserrement des conditions financières gêne les ménages européens, ce qui freine les dépenses et la croissance économique.
  • Malgré cette récession technique, la Banque centrale européenne, toujours aux prises avec une inflation élevée, semble résolue à poursuivre ses hausses de taux d’intérêt à ses prochaines rencontres.

En Chine, les activités commerciales chutent

  • Les activités commerciales de la seconde économie mondiale ont considérablement ralenti en mai, ce qui laisse entendre que la demande intérieure et internationale s’affaiblit.
  • En mai, les exportations chinoises ont décliné de 7,5 % sur une base annuelle en mai. Les exportations vers des partenaires commerciaux phares aux États-Unis et en Europe ont diminué par rapport à l’année dernière.
  • Les importations ont elles aussi baissé à un rythme annuel de 4,5 % en mai. Un fléchissement dans les achats d’acier et de cuivre est principalement responsable du repli de mai.
  • L’excédent commercial chinois a reculé à 65,81 milliards $ US en mai par rapport au moins précédent.

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