Your weekly commentary – For the week ended July 24 – From Our Partners
Global equity markets finished the week ended July 24 relatively flat. Economic data pointed to the potential to avoid a global recession, but expectations for major central banks to keep raising interest rates weighed on sentiment towards risk assets. The S&P/TSX Composite Index edged higher, led by the Health Care sector. U.S. equities, as measured by the MSCI USA Index, also finished higher. Gold and oil prices advanced. Yields on 10-year government bonds in Canada and the U.S. were little changed.
Canadian price pressures soften
- Consumer prices in Canada showed further signs of easing in June, with Canada’s inflation rate at 2.8%, below expectations.
- June’s rate was the lowest since March 2021 and was below projections by the Bank of Canada (“BoC”), which could point to the central bank pausing again.
- The inflation slowdown was driven by another sharp decline in gasoline prices, partly due to a high base year in 2022.
- Conversely, two essential costs for many Canadian households remained elevated, suggesting Canadians may still feel the pinch from higher prices on necessities, despite the slowdown in the inflation print. Mortgage costs surged higher again in June, as did grocery prices.
Higher Canadian home prices expected
- A report from Zoocasa forecasted that Canadian home prices will continue to increase, despite any short-term adverse events. The low supply of housing, combined with rising immigration and internal population growth, will likely put upward pressure on home prices.
- While Zoocasa noted there could be short-term disruptions, as seen in 2008 and 2022, when the BoC raised interest rates quickly, home prices are on a long-term upward trajectory.
- The different levels of government have maintained a focus on upping the housing supply in Canada.
- Strong demand, low supply and relatively low interest rates have pushed prices significantly higher during the pandemic, raising concerns about affordability.
North American retail sales climb higher
- Canadian retail sales increased by 0.2%, falling short of preliminary estimates. Sales rose at motor vehicle and parts dealers and for food and beverage retailers but fell at health care stores.
- Statistics Canada estimates retail sales posted no growth in June, suggesting consumer spending may be losing some steam. This could be troubling for Canada’s economy, which has been propped up by a strong Canadian consumer.
- Households continue to grapple with high inflation and surging borrowing costs.
- South of the border, retail sales edged up by 0.2% in June for a third straight monthly increase. Consumer spending remains relatively strong as inflation has come down but remains elevated.
- Signs point to consumer spending helping growth in the second quarter. A first estimate for U.S. gross domestic product in the second quarter will be released on July 27.
China’s economic activity underwhelms
- China’s economy expanded in the second quarter of 2023, but a deeper look into the data shows growth remaining relatively weak and the outlook uncertain.
- China’s gross domestic product grew at an annual pace of 6.3% in the second quarter, above the 4.5% growth in the first quarter. It was, however, below economists’ expectations.
- While the headline figure was relatively impressive, the pace of growth was buoyed by a low base number in 2022, when several cities in China were under lockdown restrictions.
- On a quarterly basis, economic growth slowed to 0.8% in the second quarter from 2.2% in the previous quarter. The slowdown came amid challenges in the property market and a drop in exports.
Les marchés boursiers mondiaux ont terminé la semaine du 24 juillet sans grand changement. Si l’on se fie aux données économiques, il se pourrait que l’on échappe à une récession mondiale. Cependant, la perspective que les principales banques centrales continuent à hausser les taux d’intérêt a assombri l’humeur générale à l’endroit des actifs risqués. L’indice composé S&P/TSX a quelque peu progressé, remorqué par le secteur des soins de santé. Comme l’indique l’indice MSCI USA, les actions américaines ont également remonté la pente. Les prix du pétrole et de l’or ont grimpé. Les rendements des obligations à 10 ans des gouvernements canadien et américain ont essentiellement fait du surplace.
Au Canada, les pressions sur les prix se relâchent
- Au Canada, les prix à la consommation ont encore fait montre d’essoufflement en juin, et le taux de l’inflation a reculé à 2,8 %, ce qui est en deçà des attentes.
- Le pourcentage de juin a été le plus bas depuis mars 2021, et il a même été inférieur aux projections de la Banque du Canada (BDC), ce qui pourrait inciter celle-ci à faire une nouvelle pause.
- La baisse de l’inflation s’explique par celle du prix de l’essence, qui a encore chuté quand on le compare à celui de 2022 où il avait été particulièrement élevé.
- En revanche, deux des biens essentiels pour bon nombre de ménages canadiens demeurent chers, ce qui laisse entendre que les Canadiens souffriraient encore financièrement du prix considérable des produits indispensables malgré la diminution de l’inflation. En effet, en juin, les coûts des hypothèques et des aliments ont de nouveau bondi.
On prévoit qu’au Canada le prix des maisons augmentera
- Un rapport de Zoocasa prévoit que le prix des maisons canadiennes continuera son ascension, peu importe les circonstances malheureuses à court terme. La rareté de l’offre, l’accélération de l’immigration et la croissance de la population intérieure sont autant de facteurs propres à les pousser vers le haut.
- Bien que Zoocasa fasse remarquer qu’il pourrait y avoir des moments de répit temporaires, comme lorsqu’en 2008 et en 2022 la BDC avait rapidement majoré les taux d’intérêt, force est de constater que le prix des maisons va poursuivre son escalade encore longtemps.
- Les différents paliers de gouvernement ont continué de plaider en faveur d’une hausse de l’offre au Canada.
- La forte demande, la rareté de l’offre et les taux d’intérêt relativement bas ont nettement fait monter les prix durant la pandémie, soulevant des inquiétudes quant à l’accessibilité.
En Amérique du Nord, les ventes au détail s’intensifient
- Au Canada, les ventes au détail ont gagné 0,2 %, ratant de peu les estimations préliminaires. Elles se sont fortifiées du côté des véhicules à moteur, des pièces de rechange, des aliments et des boissons, mais ont reculé dans les magasins de produits de santé.
- Selon Statistique Canada, les ventes au détail n’auraient pas augmenté en juin, indiquant ainsi que les dépenses des consommateurs seraient en perte de vitesse. Ce facteur risque de nuire à l’économie du pays qui avait pu compter jusqu’ici sur la résilience du consommateur canadien.
- Les ménages demeurent aux prises avec une inflation et des coûts d’emprunt élevés.
- Au sud de la frontière, les ventes au détail ont recueilli 0,2 % en juin, soit une troisième hausse mensuelle de suite. Les dépenses des consommateurs restent relativement fortes alors que l’inflation est toujours importante, même si elle a reculé.
- Tout porte à croire que les dépenses des consommateurs ont soutenu la croissance au deuxième trimestre. Une première évaluation du produit intérieur brut américain au cours de ce trimestre sera publiée le 27 juillet.
En Chine, l’activité économique déçoit
- L’économie chinoise a profité au second trimestre de 2023, mais en analysant plus à fond les chiffres, on constate que la croissance est plutôt faible et que l’avenir demeure incertain.
- Le produit intérieur brut chinois a crû de 6,3 % sur une base annualisée au cours du second trimestre, au-dessus de la croissance de 4,5 % du premier trimestre. Mais il n’a cependant pas été à la hauteur des attentes des économistes.
- Bien que les chiffres publiés semblent impressionnants, le taux de croissance a été faussé par celui de l’année de référence 2022, pendant laquelle plusieurs villes chinoises se trouvaient sous le coup des mesures de confinement.
- Sur une base trimestrielle, la croissance économique a ralenti de 0,8 % au deuxième trimestre, alors qu’elle avait été de 2,2 % au trimestre précédent. Ce fléchissement a eu lieu alors que le marché de l’immobilier éprouve des problèmes et que les exportations sont en chute.
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