Your weekly commentary – For the week ended October 30 – From Our Partners 

Global equity markets fell over the week as investor angst heightened amid geopolitical tensions and uncertainty in the global economic outlook. The S&P/TSX Composite Index dropped, posting weakness in the Health Care sector. U.S. equities also fell over the week. The price of oil dropped, while the price of gold finished higher. Yields on 10‑year government bonds in Canada and the U.S. finished lower.

The BoC decides to stay at 5.00%

  • The Bank of Canada (“BoC”) held its benchmark overnight interest rate steady at 5.00% at its October meeting, a move widely expected by economists.
  • The BoC believed the pause was warranted given declining inflation and slower economic activity.
  • Still, the BoC noted it is open to lifting rates further as inflation remains a risk, despite weakening economic growth.
  • In its quarterly report, the BoC projected inflation of 3% in 2024, but it expects inflation to move back to its 2% target by 2025.
  • The announcement sent the Canadian dollar to its lowest level since March 2023.

U.S. consumer helps boost GDP

  • According to an advanced estimate, the U.S. economy grew at a higher‑than‑expected pace of 4.9%, annualized, in the third quarter of 2023.
  • The third-quarter rate of growth marks the highest since the fourth quarter of 2021.
  • The U.S. economy benefited from a strong U.S. consumer, which pushed up consumer spending by 4.0%. Tight financial conditions have done little to deter consumer spending.
  • Trade activity also contributed to growth, with exports rising in the third quarter, rebounding from a drop in the second quarter.
  • A stronger-than-expected U.S. economy could result in another rate increase by the U.S. Federal Reserve Board, particularly given inflation remains elevated, despite easing.

The ECB to monitor impact of current policy

  • Like the BoC, the European Central Bank (“ECB”) elected to hold steady at its October meeting, keeping its policy interest rate at 4.50%.
  • October’s pause marks the first time the ECB has not raised interest rates in 10 meetings, keeping it at its highest level since 2001 and at levels the ECB deems restrictive.
  • The ECB believes the current level of interest rates should work to bring inflation down to its 2% target.
  • ECB President Christine Lagarde mostly ended expectations of a rate cut, at least in the near term. Lagarde also noted that another rate increase is not entirely off the table.

Global manufacturing hindered by tight financial conditions

  • Manufacturing activity across the world continued to contract in October, hurt by dampening demand amid high inflation and rising borrowing costs.
  • New orders dropped over the month in many of the world’s largest economies, negatively impacting output and, in some cases, trade activity.
  • In Europe, the manufacturing sector continued to contract, hurt by weakness in Germany, Europe’s largest economy. Manufacturing activity also weakened in the U.K. and Japan.
  • Manufacturing activity in the U.S. ticked higher and expanded for the first time since April. Still, the pace of expansion was muted amid relatively weak demand.

Les marchés boursiers mondiaux ont chuté cette semaine. En effet, les tensions géopolitiques et les perspectives incertaines quant à l’économie mondiale sont venues alimenter l’angoisse des investisseurs. La faiblesse du secteur des soins de la santé a fait reculer l’indice composé S&P/TSX. Les actions américaines ont également battu en retraite. Le prix du pétrole a baissé tandis que celui de l’or a monté. Les rendements des obligations à 10 ans des gouvernements du Canada et des États-Unis ont régressé.

La BDC décide de rester à 5,00 %

  • La Banque du Canada (BDC) a maintenu le taux cible du financement à un jour à 5,00 % lors de sa rencontre d’octobre, décision à laquelle les économistes s’attendaient largement.
  • La BDC croit que cette pause est justifiée par le déclin de l’inflation et le ralentissement de l’activité économique.
  • La BDC a néanmoins déclaré qu’elle pourrait recommencer à majorer les taux, car l’inflation reste problématique, même si la croissance économique faiblit.
  • Dans son rapport trimestriel, la BDC prévoit une inflation de 3 % en 2024, mais espère qu’elle retombera à sa cible des 2 % en 2025.
  • À la suite de cette annonce, le dollar canadien a glissé à son niveau le plus bas depuis mars 2023.

Le consommateur américain contribue à la remontée du PIB

  • Selon une estimation préliminaire, l’économie américaine a exhibé, au troisième trimestre de 2023, un rythme de croissance annualisée de 4,9 % qui s’est révélée supérieure à celle qu’on attendait.
  • Le taux de croissance du troisième trimestre est le plus haut depuis le quatrième trimestre 2021.
  • L’économie des États-Unis doit beaucoup aux consommateurs américains dont les dépenses ont progressé de 4 %. Les conditions financières serrées ne semblent pas les décourager.
  • L’activité commerciale a également joué un rôle dans cette croissance. Les exportations ont rebondi au troisième trimestre après avoir régressé au deuxième.
  • Étant donné que l’économie des États-Unis s’avère plus robuste que prévu, il se pourrait que la Réserve fédérale américaine relève une fois de plus les taux, d’autant que l’inflation demeure élevée même si elle a quelque peu rétrogradé.

La BCE suit de près les conséquences de sa politique actuelle

  • À l’instar de la BDC, la Banque centrale européenne (BCE) a décidé de faire une pause lors de sa réunion d’octobre et de maintenir son taux directeur à 4,50 %.
  • Il s’agissait de la première fois en dix rencontres que la BCE n’augmentait pas les taux d’intérêt qui sont au plus haut depuis 2001, niveau que la BCE juge contraignant.
  • La BCE croit que le degré actuel des taux d’intérêt devrait réussir à ramener l’inflation à la cible des 2 %.
  • La présidente de la BCE, Christine Lagarde, a dissipé tout espoir quant à une baisse de taux, à court terme du moins. Elle a aussi fait remarquer qu’une autre hausse de taux n’était pas exclue.
  • Le secteur manufacturier mondial freiné par les conditions financières serrées
  • L’activité manufacturière mondiale s’est encore contractée en octobre, mise à mal par l’amoindrissement de la demande dû à l’inflation élevée et aux coûts d’emprunt grandissants.
  • Dans plusieurs des grandes économies mondiales, le nombre de nouvelles commandes s’est effondré au cours du mois, ce qui s’est répercuté négativement sur la production et, parfois, sur l’activité commerciale.
  • En Europe, le secteur manufacturier a continué à dépérir en raison de la faiblesse de l’Allemagne, première économie européenne. L’activité de ce secteur a également ramolli au Royaume-Uni et au Japon.
  • L’activité manufacturière s’est intensifiée aux États-Unis pour la première fois depuis avril. Son expansion a cependant été freinée par une demande relativement modeste.

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