Your weekly commentary – For the week ended July 29 – From Our Partners

Global equity markets finished lower over the week ended July 29. Declines were driven by a falling U.S. equity market, as investors questioned the valuation of artificial intelligence stocks amid concerns that progress is not as far along as believed. In Canada, the S&P/TSX Composite Index advanced, led by the Real Estate sector. Yields on 10-year government bonds in Canada and the U.S. declined over the week. Oil and gold prices moved lower.

BoC cuts rates for second straight time

  • In a widely expected move, the Bank of Canada (“BoC”) reduced its benchmark overnight interest rate by 25 basis points (“bps”) to 4.50%.
  • This was the second straight rate cut from the BoC, with inflationary pressures continuing to moderate and economic conditions slowly deteriorating.
  • In its outlook, the BoC noted that it sees inflation continuing to moderate in 2024 before reaching its 2% target in 2025.
  • The BoC’s concern has shifted from inflation to the Canadian economy and labour market. Canada’s central bank sees some downside risks to Canada’s economy.
  • Signs point to the BoC cutting rates again in 2024. The BoC noted that each rate decision will be dependent on economic data at the time, suggesting there is no set timeline for cutting rates.

U.S. GDP growth tops expectations

  • Gross domestic product (“GDP”) in the U.S. expanded by 2.8%, annualized, in the second quarter of 2024, according to a preliminary estimate.
  • This topped the 2.0% rate of growth economists had expected, benefiting from the relatively robust U.S. consumer, who pushed personal spending up 2.3%.
  • Real estate investment, meanwhile, contracted in the second quarter. Demand has waned with the U.S. Federal Reserve Board (“Fed”) keeping rates higher for longer. Inventory has also been soft, weighing on market activity.
  • The personal consumption expenditure price index (“PCE”) ticked lower to 2.5% in June from 2.6% in May. Core PCE was unchanged in June at 2.6%.
  • The Fed looks poised to begin cutting interest rates in 2024, with inflation moderating and slower GDP growth compared to last year. But the relative strength of the economy suggests the Fed might be able to direct the U.S. economy through a soft landing.

European business activity weakens

  • A preliminary estimate showed business activity in Europe eased in July.
  • The Hamburg Commercial Bank (HCOB) Eurozone Purchasing Managers Index declined to 50.1 in July from 50.9 in the previous month. This marked the lowest reading since contracting in February 2024.
  • Services sector activity slowed for a third straight month, while the manufacturing sector contracted for a 16th consecutive month.
  • Both sectors have been hindered by relatively weak demand amid tight financial conditions.
  • But demand in Europe might see some improvement in the months to come. The European Commission reported that consumer confidence increased in July, largely in response to falling inflation and the recent rate cut from the European Central Bank. A more confident consumer could lead to higher spending.

PBOC looks to stimulate economy

  • At its July fixing, the People’s Bank of China (“PBOC”) lowered its one- and five-year loan prime rates (“LPR”) by 10 bps to 3.35% and 3.85%, respectively.
  • The one-year LPR serves as a reference rate for household and corporate loans. The PBOC hopes this might help spur spending activity. The five-year LPR is a reference rate for mortgages. China’s property market has struggled considerably over the past few years.
  • Later in the week, the PBOC continued to loosen policy by reducing its one-year medium-term lending facility (“MLF”) by 20 bps to 2.30%. The MLF references the rate the PBOC charges China’s big banks.
  • China’s central bank has taken action to help stimulate economic conditions in China and improve liquidity.
  • The Chinese yuan weakened over the week relative to the U.S. dollar.

Les marchés boursiers mondiaux ont reculé au cours de la semaine ayant pris fin de 29 juillet. Ce déclin s’explique par la chute du marché boursier américain dont les investisseurs s’interrogent sur la valeur des titres liés à l’intelligence artificielle dont le progrès ne semble pas aussi marqué qu’on le croyait. Au Canada, l’indice composé S&P/TSX a été entraîné vers l’avant par le secteur de l’immobilier. Les rendements des obligations gouvernementales à 10 ans du Canada et des États-Unis ont fait marche arrière cette semaine. Les prix du pétrole et de l’or ont baissé.

La BDC réduit les taux pour une deuxième fois d’affilée

  • La Banque du Canada (BDC) a pris la décision, à laquelle on s’attendait d’ailleurs, de réduire son taux cible au jour le jour de 25 points de base (bp) à 4,50 %.
  • C’est la deuxième fois de suite que la BDC diminue les taux, considérant que les pressions inflationnistes continuent de s’alléger et que les conditions économiques se dégradent lentement.
  • La BDC prévoit que l’inflation poursuivra sa descente en 2024 avant d’atteindre sa cible de 2 % en 2025.
  • La BDC se soucie moins de l’inflation et davantage de l’économie et du marché du travail du pays. La banque centrale considère que l’économie canadienne pourrait fléchir.
  • Certains signes indiquent que la BDC abaissera encore les taux en 2024. Elle a cependant précisé que chacune de ses décisions sera prise en fonction des données économiques opportunes. On peut en déduire que les dates des prochaines coupes ne sont pas arrêtées.

La croissance du PIB américain surpasse les attentes

  • Aux États-Unis, le produit intérieur brut (PIB) s’est accru de 2,8 %, sur une base annualisée, au deuxième trimestre de 2024, selon une estimation préliminaire.
  • Ce pourcentage est supérieur aux 2 % qu’avaient prévus les économistes, grâce à la vigueur du consommateur américain dont les dépenses personnelles ont monté de 2,3 %.
  • Cependant, les investissements immobiliers se sont contractés au deuxième trimestre. Comme la Réserve fédérale américaine (Fed) maintient toujours les taux, la demande diminue. L’inventaire est également moindre, ce qui freine l’activité.
  • L’indice des prix des dépenses de consommation personnelle (PCE) s’est chiffré à 2,5 % en juin, contre 2,6 % en mai. Le PCE de base s’est maintenu à 2,6 % en juin.
  • La Fed semble prête à opérer une première coupe de taux en 2024, puisque l’inflation s’essouffle et que le PIB monte plus lentement par rapport à l’an passé. Mais la force relative de l’économie laisse entrevoir que la Fed pourrait mener l’économie américaine vers un atterrissage en douceur.

L’activité commerciale européenne faiblit

  • Selon une estimation préliminaire, l’activité commerciale européenne a faibli en juillet.
  • L’indice des directeurs d’achat pour la zone euro compilé par la banque commerciale d’Hambourg a reculé à 50,1 en juillet depuis 50,9 au mois précédent. Il s’agit de son niveau le plus bas depuis la contraction de février.
  • L’activité du secteur des services a ralenti pour un troisième mois consécutif, tandis que le secteur manufacturier s’est contracté pour un 16e mois d’affilée.
  • Les deux secteurs ont été mis à mal par une demande relativement faible dans un climat de conditions financières serrées.
  • Il se pourrait toutefois que la demande s’améliore en Europe dans les mois à venir. La Commission européenne a fait savoir que la confiance des consommateurs avait augmenté en juillet, grâce principalement au recul de l’inflation et à la récente réduction de taux de la part de la Banque centrale européenne. Un consommateur plus confiant pourrait être porté à dépenser davantage.

La Banque populaire de Chine cherche à stimuler l’économie

  • En juillet, la Banque populaire de Chine (BPC) a abaissé de 10 pb ses taux préférentiels pour les prêts à un et à cinq ans qui se chiffrent désormais à 3,35 % et 3,85 % respectivement.
  • Le taux préférentiel à un an sert de taux de référence pour les prêts aux ménages et aux entreprises. La BPC espère que cela encouragera les gens à dépenser. Le taux à cinq ans, lui, est le taux de référence pour les prêts hypothécaires. Le marché immobilier chinois est mal en point depuis quelques années.
  • Vers la fin de la semaine, la BPC a encore assoupli sa politique en réduisant le taux du prêt marginal à moyen terme de 20 pb à 2,3 %. Ce taux détermine celui imposé par la BDC aux grandes banques chinoises.
  • La Banque centrale chinoise a adopté des mesures susceptibles d’améliorer les conditions économiques et d’augmenter les liquidités.
  • Le yuan chinois a perdu de la valeur par rapport au dollar américain cette semaine.

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