Your weekly commentary – For the week ended September 30 – From Our Partners
Global equity markets moved higher over the week ended September 30, with signs pointing to more rate cuts from global central banks this year. Furthermore, China’s central bank announced several measures it hopes will improve economic activity in the country. In Canada, the S&P/TSX Composite Index advanced, led by the Utilities sector. Canada’s main index reached a new record high over the week. U.S. equities also finished higher. Yields on 10-year government bonds in Canada and the U.S. inched higher. Gold prices increased while the price of oil declined.
Canada’s economy expands in July
- Canada’s gross domestic product (“GDP”) expanded by 0.2% in July, which topped the 0.1% increase economists had expected. There was no growth (0.0%) in GDP in June.
- A rise in retail trade and in the financials sector contributed to Canada’s growth in July. Conversely, the transportation and warehousing industry detracted from growth.
- Statistics Canada estimated that Canada’s economy was unchanged in August.
- While the Bank of Canada (“BoC”) has started to lower interest rates, it will take time to filter through the economy and make its desired impact. Canada’s economic activity could be relatively muted as interest rate changes take hold.
- The BoC hopes that the rate cuts will lead to increased consumer and business spending.
U.S. inflationary pressures ease
- The annual personal consumption expenditure price index (“PCE”) fell to 2.2% in August from 2.5% in the previous month.
- The PCE, the U.S. Federal Reserve Board’s (“Fed”) preferred inflation gauge, dropped to its lowest level since February 2021.
- The same report showed personal spending in the U.S. increased by 0.2% in August, which fell short of the 0.5% increase in the previous month, suggesting tight financial conditions were weighing on U.S. households.
- The Fed already lowered interest rates in September. With signs of slowing inflation and consumer activity, the Fed seems likely to lower rates again in the final quarter of 2024.
Asia sees shift in policy actions
- The People’s Bank of China (“PBOC”) lowered its one-year medium-term lending facility by 30 basis points to 2.00%. The PBOC hopes this might help raise loan activity in China and put more money into the system.
- The PBOC also announced widespread policy changes seeking to increase liquidity in the system and help support China’s economy, particularly domestic demand and the challenged property market.
- The Bank of Japan (“BoJ”) held its policy interest rate steady at its September meeting after two increases earlier in the year. Japan’s economy has faced elevated inflationary pressures, which prompted the BoJ’s rate hikes.
- The BoJ is holding steady and indicated it is in no rush to raise interest rates further. Japan’s central bank is closely monitoring how its rate hikes may impact financial markets after the last one sent equity markets into a tailspin.
- Differences in economic conditions around Asia are resulting in divergent paths of monetary policy among the central banks in the region.
OECD says signs point to a stronger global economy ahead
- In its September Economic Outlook, the Organisation for Economic Co-operation and Development (“OECD”) projected that the global economy would expand by 3.2% in 2024 and 2025.
- Global growth has been driven by the resiliency of the U.S. economy, which has posted relatively strong growth despite tight financial conditions. However, the OECD expects growth in the U.S. to slow in 2025.
- In Canada, the OECD projects growth of 1.1% this year and 1.8% in 2025.
- The OECD believes growth will be boosted by improving trade activity, rising real incomes and slowing inflation, which should keep many central banks lowering interest rates.
- The economic organization also expects the global inflation rate of G20 countries to fall from 6.1% in 2023 to 5.4% this year and 3.3% in 2025.
Les marchés boursiers mondiaux se sont redressés au cours de la semaine ayant pris fin le 30 septembre. En effet, tout indique que les banques centrales réduiront encore les taux cette année. De plus, la banque centrale de la Chine a fait savoir qu’elle mettait en œuvre plusieurs mesures destinées à relancer son activité économique. Au Canada, le secteur des services d’utilité publique a entraîné vers l’avant l’indice composé S&P/TSX. Le principal indice canadien a fracassé un nouveau record cette semaine. Les actions américaines ont également terminé la semaine en hausse. Les rendements des obligations gouvernementales à 10 ans du Canada et des États-Unis ont quelque peu progressé. Le prix de l’or a monté mais celui du pétrole a baissé.
L’économie du Canada a progressé en juillet
- Le produit intérieur brut du Canada (PIB) a progressé de 0,2 % en juillet, surpassant ainsi la croissance de 0,1 % prévue par les économistes. Il n’y avait eu aucune croissance (0,0 %) du PIB en juin.
- Une remontée du commerce de détail et du secteur financier a contribué à la croissance du Canada en juillet. En revanche, le transport et l’industrie de l’entreposage ont contrarié cette croissance.
- Selon Statistique Canada, l’économie du Canada est restée telle quelle en août.
- Bien que la Banque du Canada (BDC) ait commencé à diminuer les taux d’intérêt, il faudra du temps avant que cela se répercute dans l’économie et produise l’effet recherché. L’activité économique canadienne pourrait demeurer relativement médiocre d’ici à ce que les nouveaux taux d’intérêt se fassent concrètement sentir.
- La BDC espère que la baisse des taux se traduira par l’augmentation des dépenses des consommateurs et des entreprises.
Aux États-Unis, les pressions inflationnistes se relâchent
- L’indice annuel des prix des dépenses de consommation personnelles (PCE) a chuté à 2,2 % en août depuis 2,5 % le mois précédent.
- Le PCE — indice privilégié par la Réserve fédérale américaine (Fed) pour mesurer l’inflation — a atteint son point le plus bas depuis février 2021.
- Le même rapport révèle qu’aux États-Unis les dépenses personnelles ont augmenté de 0,2 % en août, ce qui est inférieur à la hausse de 0,5 % du mois précédent et porte à croire que les conditions financières serrées pèsent sur les ménages américains.
- La Fed a déjà baissé les taux d’intérêt en septembre. Étant donné que l’inflation et l’activité des consommateurs semblent ralentir, la Fed devrait vraisemblablement alléger de nouveau les taux au dernier trimestre de 2024.
L’Asie adopte de nouvelles politiques
- La Banque populaire de Chine (BPC) a soustrait 30 points de base (pb) du taux à un an de la facilité de crédit à moyen terme, le portant ainsi à 2,00 %. La BPC espère ainsi que les prêts se multiplieront et injecteront plus d’argent dans le système.
- La BPC a également annoncé des changements étendus en matière de politique destinés à accroître les liquidités dans le système et à relancer l’économie chinoise, notamment la demande intérieure et le marché immobilier actuellement en difficulté.
- La Banque du Japon (BDJ) a maintenu son taux directeur lors de sa rencontre de septembre après l’avoir relevé deux fois cette année. L’économie japonaise a subi des pressions inflationnistes élevées, ce qui a incité la BDJ à rehausser les taux.
- La BDJ opte pour le statu quo, et elle a fait savoir qu’elle ne jugeait pas urgent d’augmenter davantage les taux d’intérêt. La Banque centrale japonaise suit de près les répercussions de ses hausses de taux sur les marchés financiers étant donné que la dernière avait fait tomber les bourses.
- Les conditions économiques diffèrent d’un bout à l’autre de l’Asie parce que les diverses banques centrales ont emprunté des voies divergentes en matière de politique monétaire.
L’OCDE déclare que l’économie mondiale pourrait se renforcer
- Dans ses Perspectives économiques de septembre, l’Organisation de coopération et de développement économique (OCDE) prévoit que l’économie mondiale devrait croître de 3,2 % en 2024 et 2025.
- La croissance mondiale s’est appuyée sur la résilience de l’économie des États-Unis, qui a affiché une expansion relativement robuste malgré les conditions financières serrées. L’OCDE s’attend cependant à ce que la croissance américaine ralentisse en 2025.
- En ce qui a trait au Canada, l’OCDE projette une croissance de 1,1 % cette année et de 1,8 % en 2025.
- L’OCDE croit que la croissance sera stimulée par l’amélioration de l’activité commerciale, l’augmentation des revenus réels et le ralentissement de l’inflation, ce qui devrait motiver les banques centrales à continuer à baisser les taux d’intérêt.
- L’organisation économique s’attend aussi à ce que le taux d’inflation général des pays du G20 passe de 6,1 % en 2023 à 5,4 % cette année et à 3,3 % en 2025.
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