Your weekly commentary – For the week ended October 14 – From Our Partners
Global equity markets finished relatively flat over the week ended October 14. Investor sentiment was muted amid ongoing geopolitical tensions and mixed economic data. Investors are trying to gauge how deep central banks may cut interest rates this year. In Canada, the S&P/TSX Composite Index edged higher, led by the Energy sector. U.S. equities also advanced. Yields on 10-year government bonds in Canada and the U.S. increased. Oil and gold prices were largely unchanged over the week.
Canada sees an uptick in jobs
- The Canadian economy added 46,700 jobs in September, the most since April.
- This topped the 22,100 jobs added in August and economists’ expectations of 27,000 job additions.
- September’s increase was driven by a surge in full-time employment. Conversely, part-time employment dropped over the month. The retail trade and professional services industries added a significant number of jobs over the month.
- Canada’s unemployment rate edged lower to 6.5% in September from 6.6% in the previous month. This was the first time Canada’s jobless rate dropped since January 2024.
- Despite the rise in jobs in September, the Bank of Canada is still expected to lower interest rates further at upcoming meetings.
U.S. inflation rate pulls back
- The U.S. inflation rate moderated in September, but not by enough to expect a jumbo rate cut from the U.S. Federal Reserve Board (“Fed”) at its next meeting.
- The U.S. inflation rate was 2.4% in September, slowing from 2.5% in August. However, it was above the 2.3% rate economists had expected. September’s slowdown came amid a drop in energy and vehicle prices.
- Conversely, the core inflation rate inched higher to 3.3% in September from 3.2% in August, matching expectations.
- The U.S. labour market showed further signs of weakening, with initial jobless claims rising to their highest level in 14 months during the week ended October 5.
- The data likely keeps the Fed on pace to cut interest rates again in 2024. However, data points to the Fed taking a relatively gradual approach, rather than aggressively cutting interest rates.
U.K. economy shows signs of improvement
- Gross domestic product in the U.K. rose by 0.2% in August over the previous month, matching economists’ expectations.
- This follows two consecutive months of flat growth (0.0%). The U.K. economy saw gains in both its services and production sectors.
- Industrial production increased by 0.5% in August, rebounding from a 0.7% drop in July. August’s gain benefited from rising output in the manufacturing sector, which rose by 1.1%.
- The U.K. economy showed some signs of improvement in August.
- Still, the overall trend for growth has been muted in recent months, likely pointing to slower economic growth in the third quarter compared to earlier in the year. This could put the Bank of England in a position to cut interest rates again this year.
Germany factory orders slump
- Factory orders in Germany continued to decline in August, reflecting the impact tight global financial conditions are having on demand for German goods.
- Factory orders fell by 5.8% in August, marking the sixth decline in eight months over 2024 and the largest drop since January.
- August’s sharp decline was driven by a fall in orders for capital and consumer goods.
- Germany’s economy continues to be affected by tight financial conditions, which have weighed on demand for goods in its critical manufacturing sector.
- As Europe’s largest economy, Germany’s troubles have weighed on its overall growth. However, as tight financial conditions ease, demand may pick up, benefiting Germany’s economy.
Les marchés boursiers mondiaux ont terminé la semaine ayant pris fin le 14 octobre relativement à plat. Les tensions géopolitiques et les données économiques médiocres ont assombri l’humeur des investisseurs. Ces derniers essaient d’évaluer dans quelle mesure les banques centrales pourraient réduire les taux d’intérêt cette année. Au Canada, le secteur de l’énergie a poussé l’indice composé S&P/TSX vers le haut. Les actions américaines ont également progressé. Les rendements des obligations gouvernementales à 10 ans du Canada et des États-Unis ont monté. Les prix du pétrole et de l’or n’ont pour ainsi dire pas changé cette semaine.
Au Canada, les emplois augmentent
- L’économie canadienne s’est enrichie de 46 700 emplois en septembre, l’augmentation la plus importante depuis avril.
- C’est davantage que les 22 100 emplois ajoutés en août et que les 27 000 prévus par les économistes.
- Cette hausse est imputable à un rebond dans les emplois à temps plein. À l’inverse, le nombre d’emplois à temps partiel a chuté ce mois-ci. Pour leur part, le commerce de détail et l’industrie des services professionnels ont créé un nombre appréciable de postes.
- Au Canada, le taux de chômage a très légèrement baissé, passant de 6,6 % en août à 6,5 % en septembre. Cette baisse est la première depuis janvier 2024.
- Bien que le nombre d’emplois ait augmenté en septembre, on s’attend toujours à ce que la Banque du Canada abaisse encore les taux d’intérêt à ses prochaines rencontres.
Aux États-Unis, l’inflation recule
- En septembre, l’inflation a reculé aux États-Unis, mais pas assez pour que la Réserve fédérale américaine (Fed) opère une réduction majeure des taux à sa prochaine rencontre.
- L’inflation américaine, qui était de 2,5 % en août, a fléchi à 2,4 % en septembre. C’est cependant plus que le taux de 2,3 % qu’espéraient les économistes. Cette baisse s’est produite parallèlement à celle du prix de l’énergie et des véhicules.
- En revanche, l’inflation de base s’est relevée de 3,2 % en août à 3,3 % en septembre, ce qui correspond aux attentes.
- Le marché du travail américain a continué à exhiber des signes de faiblesse, et les nouvelles demandes au chômage ont atteint leur point le plus élevé en 14 mois au cours de la semaine ayant pris fin le 5 octobre.
- Ces chiffres vont probablement pousser la Fed à sabrer encore dans les taux d’intérêt en 2024. Cependant, elle le fera sans doute plus graduellement qu’agressivement.
L’économie du Royaume-Uni semble aller mieux
- Le produit intérieur brut du Royaume-Uni s’est redressé de 0,2 % en août par rapport au mois précédent, comme l’espéraient les économistes.
- Cette reprise suit deux mois consécutifs sans croissance (0,0 %). L’économie du Royaume-Uni s’est améliorée du côté des secteurs des services et de la production.
- La production industrielle s’est accélérée de 0,5 % en août, ce qui constitue un rebond par rapport au recul de 0,7 % en juillet. Cette remontée a tiré profit de la production du secteur manufacturier qui a gagné 1,1 %.
- En août, l’économie du Royaume-Uni a semblé aller mieux.
- Cependant, cette tendance généralisée à la croissance s’est refroidie depuis quelques mois, ce qui risque de donner lieu à un ralentissement économique au troisième trimestre par rapport au semestre précédent. De ce fait, la Banque d’Angleterre pourrait se trouver dans l’obligation de réduire encore les taux d’intérêt cette année.
En Allemagne, les commandes pour des produits manufacturés s’effondrent
- En Allemagne, les commandes dans les manufactures ont continué à décliner en août, signe manifeste que les conditions financières serrées à l’échelle mondiale se répercutent sur la demande pour les biens allemands.
- Les commandes dans les manufactures ont reculé de 5,8 % en août, un sixième déclin sur les huit mois de 2024 et le plus marquant depuis janvier.
- Cette dégringolade est imputable à la baisse des commandes pour des biens d’équipements et de consommation.
- L’économie allemande continue d’être mise à mal par les conditions financières serrées, lesquelles pèsent sur la demande pour les biens fabriqués par son très important secteur manufacturier.
- Parce qu’elle est la première économie de l’Europe, les problèmes de l’Allemagne ont eu des conséquences sur l’ensemble de sa croissance. Toutefois, comme les conditions financières s’allègent, la demande pourrait augmenter et l’économie allemande en bénéficier.
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