Investment Commentary For The Week Ended August 05, 2022 From Our Partners
Global equity markets finished largely flat over the week ended August 5 as investors parsed through corporate earnings results and economic data, trying to determine where global economies are headed. In Canada, the S&P/TSX Composite Index posted a drop, hindered by weakness in the Energy sector. In the U.S., the S&P 500 Index advanced, led by the Information Technology sector. Oil prices fell markedly, while the price of gold ended slightly higher. Yields on 10-year Canada and U.S. government bonds rose over the week.
Jobless rates remain relatively low
- Statistics Canada data revealed the Canadian economy shed jobs for a second consecutive month, losing 30,600 jobs in July, which disappointed economists estimating 15,000 job additions.
- Still, Canada’s unemployment rate remained at 4.9% in July, unchanged from June.
- The labour force participation rate also fell during the month as more people exited the workforce.
- In the U.S., the economy added 528,000 jobs in July, boosted by 96,000 job additions in the leisure and hospitality industry.
- The U.S. unemployment rate ticked lower to 3.5% in July, from 3.6% in June. It is the lowest unemployment rate since February 2020, just before the beginning of the pandemic.
Largest rate hike since ‘95
- The Bank of England (“BoE”) raised its key interest rate at its sixth consecutive meeting.
- Marking its highest rate increase since 1995, the BoE hiked its Bank Rate by 50 basis points to 1.75%, citing surging inflationary pressures likely to persist.
- In its outlook, the BoE carried a relatively cautious stance. The central bank projected the inflation rate to reach 13% in October, with high rates expected to continue over 2023.
- The BoE expects the U.K. economy to fall into a recession by the end of 2022, with weak economic conditions over the following five quarters.
OPEC+ production increase disappoints
- At its August meeting, the Organization of the Petroleum Exporting Countries and its allies (“OPEC+”) decided to increase production by 100,000 barrels per day in September.
- U.S. President Joe Biden’s efforts to advocate for a substantial increase were not enough, disappointing market participants hoping for more.
- In July, OPEC+ increased production by 310,000 barrels per day, falling well short of its planned 648,000 barrels. Some members of the oil cartel are experiencing capacity constraints.
- Oil prices finished lower over the week.
Signs of a slowdown in Europe
- Recent data releases out of Europe may indicate a slowdown in economic activity despite the region’s second-quarter expansion.
- Retail sales slipped by 1.2% in June, the largest drop since December 2021. Economists estimated no change in retail sales during the month (0.0%).
- Service sector activity across Europe continued its descent, falling for the third straight month, according to the S&P Global Eurozone Services Purchasing Managers Index. The sector was hindered by a drop in new business and exports.
- Surging prices, higher interest rates, energy supply and the conflict in Ukraine are weighing on Europe’s economy.
Les marchés d’actions mondiales ont terminé la semaine du 5 août essentiellement au même endroit que la semaine précédente, les investisseurs ayant épluché les résultats d’entreprise et les données économiques pour tenter de déterminer la direction que prendront les économies du monde. Au Canada, l’indice composé S&P/TSX a essuyé un revers, tiré vers le bas par le secteur de l’énergie. Aux États-Unis, l’indice S&P 500 a pris de l’avant, mené par le secteur des technologies de l’information. Du côté des marchandises, le prix du pétrole a dégringolé tandis que le prix de l’or a terminé légèrement à la hausse. Sur le plan des rendements obligataires, les bons à 10 ans des gouvernements canadien et américain sont allés de l’avant pendant cette période hebdomadaire.
Taux de chômage toujours relativement bas
- Selon les données de Statistique Canada, l’économie canadienne a perdu des emplois pour un deuxième mois consécutif, à raison de 30 600 en juillet, contredisant ainsi les économistes qui avaient prédit l’ajout de 15 000 emplois.
- Néanmoins, le taux de chômage canadien de 4,9 % en juillet est demeuré au même niveau que celui de juin.
- Le taux de participation à la main-d’œuvre a également diminué pendant le mois, un plus grand nombre de personnes ayant quitté leur emploi.
- Aux États-Unis, l’économie a ajouté 528 000 emplois en juillet, dont 96 000 dans l’industrie du divertissement et de l’hébergement.
- Le taux de chômage américain a diminué, passant de 3,6 % en juin à 3,5 % en juillet. Il s’agit du taux de chômage le plus bas depuis février 2020, juste avant la pandémie.
Hausse des taux la plus élevée depuis 1995
- La banque d’Angleterre a majoré son taux d’intérêt pour une sixième fois consécutive lors de sa rencontre mensuelle.
- En effet, celle-ci a augmenté son taux bancaire de 50 points de base à 1,75 %, soit l’augmentation la plus élevée depuis 1995, en raison des pressions inflationnistes qui semblent persister au sein de son économie.
- Dans ses perspectives, la banque a adopté un ton relativement prudent. Elle s’attend à ce que le taux d’inflation touche 13 % en octobre, et que de tels niveaux élevés se poursuivent en 2023.
- Selon la Banque d’Angleterre, l’économie anglaise risque d’être frappée d’une récession d’ici la fin de 2022 et de conditions économiques peu clémentes au cours des cinq trimestres suivants.
Déception envers l’augmentation de la production de l’OPEP+
- Lors de sa rencontre d’août, l’Organisation des pays exportateurs de pétrole et la Russie (OPEP+) a décidé d’augmenter sa production de 100 000 barils par jour en septembre.
- Les efforts de Joe Biden, président des États-Unis, pour orchestrer une hausse beaucoup plus substantielle n’ont pas porté ses fruits, décevant par la même occasion les intervenants qui espéraient plus.
- En juillet, l’OPEP+ a majoré sa production de 310 000 barils par jour, accusant ainsi un manque à combler important par rapport à l’augmentation planifiée de 648 000 barils. Certains membres du cartel pétrolier doivent composer avec des limites sur la capacité.
- Le prix du pétrole s’est incliné pendant la semaine.
Signes de ralentissement en Europe
- Les plus récentes données publiées en Europe semblent révéler un fléchissement de l’activité économique malgré l’expansion notée au deuxième trimestre dans cette région.
- Le chiffre de ventes au détail aurait chuté de 1,2 % en juin, soit le repli le plus prononcé depuis décembre 2021. Les économistes avaient prévu une donnée nulle (0,0 %) pendant le mois.
- Selon l’indice des directeurs d’achat des services mondiaux eurozone S&P, l’activité du secteur des services en Europe a poursuivi sa descente pour un troisième mois consécutif. Le secteur a subi les contrecoups d’une chute des exportations et des nouvelles affaires.
- La flambée des prix, les taux d’intérêt plus élevés, l’offre énergétique et le conflit en Ukraine ont pesé lourd sur l’économie européenne.
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