Your weekly commentary – For the week ended August 5 – From Our Partners
Global equity markets experienced heavy volatility and ended the week lower. Sentiment soured based on relatively weak economic results and investor concerns that the U.S. Federal Reserve Board (“Fed”) may be waiting too long before lowering interest rates. The S&P/TSX Composite Index declined, seeing weakness in the Information Technology sector. U.S. equities posted a loss over the week. Yields on 10-year government bonds in Canada and the U.S. declined. Oil prices fell, while the price of gold advanced.
Central banks in the spotlight
- Several central banks came into the spotlight, going in divergent directions amid different economic conditions in each respective economy.
- The Fed held its federal funds rate steady at a target range of 5.25%-5.50%. The Fed believes a restrictive rate is still needed but signalled its intention to begin lowering interest rates, which markets expect will be in September.
- In the U.K., the Bank of England lowered its key interest rate by 25 basis points to 5.25%, largely in response to slowing inflation and soft economic growth.
- The Bank of Japan (“BoJ”) went in the opposite direction, raising interest rates from a range of 0.00%-0.10% to 0.25%. This was the BoJ’s second rate increase in 2024 amid elevated inflationary pressures.
- By the end of the year, monetary policy in the U.S. and U.K. will be looser than at the beginning of the year, which could ease some pressure and help lift consumer and business activity.
Canada’s economy expands in May
- Statistics Canada (“StatsCan”) reported that Canada’s gross domestic product (“GDP”) grew by 0.2% in May, outpacing the 0.1% growth economists had expected.
- This marked the third straight month of growth, benefiting from an uptick in utilities and construction sectors.
- Conversely, household spending pulled back in May with consumers grappling with tight financial conditions. Weaker consumer spending activity helped the Bank of Canada (“BoC”) decide to lower rates in June and July.
- StatsCan estimated that Canada’s economy grew by 0.1% in June, which points to an annualized growth of 2.2% over the second quarter.
- Still, the data points to an economy running below potential, which could keep the BoC on a path of cutting interest rates.
U.S. labour market losing steam
- The U.S. economy added 114,000 jobs in July, well below the 179,00 job additions in June and economists’ expectations of 175,000 job additions.
- Job gains in the health care and transportation industries were partially offset by a decline in jobs in the educational services industry.
- The U.S. unemployment rate moved higher to 4.3% in July from 4.1% in June. This marked the highest jobless rate in the U.S. since October 2021.
- The weaker U.S. labour market report raised expectations of a potential rate cut from the Fed this year, perhaps as early as September.
Europe GDP grows modestly
- A flash estimate showed Europe’s economy expanded by 0.3% in the second quarter of 2024, matching the rate of growth from the first quarter.
- Second quarter growth diverged among Europe’s largest economies. While the economies of France, Italy and Spain expanded, Germany’s contracted. Europe’s largest economy was hindered by a weak industrial sector brought on by soft demand.
- A flash estimate on the consumer price index in Europe provided some discouraging news, with the region’s inflation rate ticking higher to 2.6% in July from 2.5% in June.
- July’s increase was driven by a rise in energy costs.
- The European Central Bank (“ECB”) held steady at its July meeting, but another rate hike this year seems possible. Given weak domestic and foreign demand, the economy remains relatively shaky. Despite the uptick in July, inflation has been on a downward trajectory.
Les marchés boursiers mondiaux ont été extrêmement volatils et ils ont terminé la semaine en baisse. Le sentiment s’est dégradé à cause des résultats économiques asthéniques, mais aussi parce que les investisseurs craignent que la Réserve fédérale américaine (Fed) tarde trop à réduire les taux d’intérêt. Malmené par la faiblesse du secteur des technologies de l’information, l’indice composé S&P/TSX/TSX a décliné. Les actions américaines ont enregistré des pertes cette semaine. Les rendements des obligations gouvernementales à 10 ans du Canada et des États-Unis ont reculé. Le prix du pétrole a baissé, mais celui de l’or a monté.
Les banques centrales sous les feux des projecteurs
- Plusieurs banques centrales ont attiré l’attention en empruntant des directions opposées en raison de leurs conditions économiques respectives différentes.
- La Fed a maintenu le taux des fonds fédéraux à sa fourchette de 5,25 % à 5,50 %. La Fed croit qu’un taux restrictif demeure nécessaire, mais elle a fait connaître son intention de commencer à diminuer les taux d’intérêt. Le marché espère que cela se fera en septembre.
- Au Royaume-Uni, la Banque d’Angleterre a fait reculer son taux directeur de 25 pb à 5,25 %, largement en réponse au ralentissement de l’inflation et à la faiblesse de la croissance économique.
- La Banque du Japon a pris la direction opposée en relevant son taux d’intérêt d’une fourchette de 0,00 % à 0,10 % à 0,25 %. Il s’agissait pour la banque de sa deuxième hausse en 2024 dans un contexte de pressions inflationnistes.
- À la fin de l’année, les politiques monétaires des États-Unis et du Royaume-Uni seront plus souples qu’au début de l’année, ce qui pourrait atténuer la pression et stimuler l’activité des consommateurs et des entreprises.
L’économie canadienne a progressé en mai
- Selon Statistique Canada, le produit intérieur brut (PIB) du Canada s’est relevé de 0,2 % en mai, dépassant le 0,1 % auquel s’attendaient les économistes.
- Il s’agit du troisième mois consécutif de croissance, soutenue par une légère hausse des secteurs des services publics et de la construction.
- À l’inverse, les ménages, aux prises avec des conditions financières difficiles, ont moins dépensé en mai. Ce fléchissement a incité la Banque du Canada (BDC) à réduire les taux en juin et en juillet.
- Statistique Canada estime que l’économie du Canada s’est redressée de 0,1 % en juin, ce qui pourrait représenter une croissance annualisée de 2,2 % au deuxième trimestre.
- Néanmoins, ces chiffres indiquent que l’économie ne tourne pas aussi vite qu’elle le pourrait et que, de ce fait, la BDC continuera sans doute à sabrer dans les taux d’intérêt.
Le marché du travail américain perd de sa vigueur
- L’économie américaine a ajouté 114 000 emplois en juillet, soit beaucoup moins que les 179 000 de juillet et que les 175 000 qu’attendaient les économistes.
- Le gain d’emplois réalisés dans les soins de la santé et l’industrie du transport a été partiellement annulé par les pertes subies dans l’industrie des services éducatifs.
- Le taux de chômage des États-Unis s’est hissé à 4,3 % en juillet depuis 4,1 % en juin. Il s’agit du pourcentage le plus élevé depuis octobre 2021.
- L’étiolement du marché du travail fait naître l’espoir que la Fed abaissera les taux cette année, peut-être dès septembre.
Le PIB de l’Europe remonte timidement
- Selon une estimation préliminaire, l’économie européenne aurait gagné 0,3 % au deuxième trimestre de 2024, tout comme elle l’avait fait au premier trimestre.
- Cette croissance du deuxième trimestre n’est pas partagée par les principales économies de l’Europe. Si la France, l’Italie et l’Espagne sont allées de l’avant, l’Allemagne, elle, a battu en retraite. Son économie a été freinée par l’atonie de son secteur industriel due à une demande flasque.
- Une estimation préliminaire de l’indice des prix à la consommation en Europe dresse un portrait décourageant de la situation : l’inflation serait passée de 2,5 % en juin à 2,6 % en juillet.
- L’augmentation de juillet a été causée par la hausse des coûts de l’énergie.
- La Banque centrale européenne (BCE) a maintenu ses taux lors de sa réunion de juillet, mais rien n’écarte la possibilité d’une majoration des taux cette année. Étant donné la faiblesse de la demande intérieure et extérieure, l’économie demeure relativement instable. Si l’on exclut la remontée de juillet, l’inflation est sur une pente descendante.
Leave a Reply