Your weekly commentary – For the week ended November 27 – From Our Partners
Global equity markets ended largely flat over the week ended November 27. Without any major catalysts over the week, investors were treading carefully as they awaited the final interest rate announcements from major central banks in the upcoming weeks. The S&P/TSX Composite Index finished lower, dragged down by the Consumer Discretionary sector. U.S. equities finished higher over a short week due to the Thanksgiving holiday. Gold prices advanced, while the price of oil edged lower. Yields on 10-year government bonds in Canada and the U.S. rose over the week.
Deficits to continue in Canada’s budget update
- The Canadian federal government gave its budget update, which showed it ran a deficit of $40.0 billion in the recent fiscal year, which was largely in line with its previous expectations.
- Looking ahead, the government expects net new costs of $20.8 billion over the next six years, with increased spending on housing and clean energy initiatives.
- The government seeks to bring down the country’s debt-to-GDP ratio, but it expects the pace of that decline to be relatively slow given the significant debt it already holds and spending requirements.
- The Canadian government announced new measures to help increase the supply of housing, looking to improve affordability.
- The government doesn’t expect to balance the budget but anticipates lowering the deficit to $18.4 billion in fiscal 2029.
Developed economies see a slowdown in inflation
- Canada’s inflation rate slowed considerably to 3.1% in October from 3.8% in September, which matched economists’ expectations.
- October’s rate was the lowest since June, largely as the result of a drop in energy prices. Price increases for food and personal care products slowed. The core inflation rate, which strips out more volatile items such as energy and gasoline, softened in October, giving some relief to Canadian households.
- With inflation and economic conditions declining, the Bank of Canada (“BoC”) may be poised to hold its key interest rate steady at 5.00% at its December meeting. As inflation moves closer to the BoC’s 2% target and economic growth slows, expectations for the BoC to cut rates next year are heightening.
- Canada isn’t the only country seeing inflationary pressures ease. Inflation has subsided, while economic growth has become sluggish, in many developed economies in recent months, including the U.S., Europe and the U.K. This has opened the door for the possibility of rate cuts by the respective central banks next year.
- Largely in response, government bond yields across major economies have pulled back in recent weeks.
U.S. home sales fall to multi-year low
- Sales of existing homes in the U.S. tumbled by 4.1% to 3.79 million in October, the lowest level since August 2010.
- October’s decline was the sharpest monthly drop since November 2022.
- A lack of supply, as well as still relatively muted demand, contributed to the sharp decline in home sales over October.
- More recent data from the Mortgage Bankers Association showed mortgage rates have dropped in recent weeks while mortgage applications have risen. This suggests demand may be picking up amid expectations the U.S. Federal Reserve Board will hold steady at its next meeting.
U.K. business activity expands
- A preliminary estimate of the S&P Global/CIPS U.K. Composite Purchasing Managers Index showed business activity in the U.K. expanded in November for the first time since July.
- The increase was driven by an expansion in services sector activity, which benefited from an uptick in new business. Conversely, the manufacturing sector contracted again in November, but at a slightly slower pace than in October.
- Elsewhere, European business activity contracted yet again, with weakness across both the manufacturing and services sectors.
- Economic activity in the U.K. and Europe has stalled in recent quarters, largely because of tight financial conditions weighing on households and businesses.
Les marchés boursiers mondiaux sont arrivés au 27 novembre en faisant du surplace. En l’absence de catalyseurs notables, les investisseurs se sont montrés prudents en attendant que les banques centrales annoncent dans les prochaines semaines la dernière hausse de taux d’intérêt de l’année. Le secteur des dépenses de consommation discrétionnaires a entraîné l’indice composé S&P/TSX vers le bas. Les actions américaines ont monté au cours de cette semaine écourtée par le congé de la Thanksgiving. Le prix de l’or a augmenté et celui du pétrole a reculé. Les rendements des obligations à 10 ans des gouvernements canadien et américain ont progressé.
Au Canada, le déficit demeure présent dans la mise à jour économique
- Le gouvernement fédéral du Canada a fait part de sa mise à jour économique dans laquelle il a un déficit de 40 milliards $ pour le récent exercice financier, ce qui correspond largement à ses projections antérieures.
- En ce qui a trait à l’avenir, l’administration libérale prévoit de nouveaux coûts nets de 20,8 millions $ au cours des six prochaines années, comprenant des allocations additionnelles en matière de logement et d’énergie verte.
- L’État entend abaisser le ratio entre la dette et le PIB du pays, mais il s’attend à ce que cette diminution s’opère lentement étant donné son niveau d’endettement plutôt considérable et ses obligations en matière de dépenses.
- Le gouvernement canadien a annoncé des mesures en matière d’habitation destinées à accroître l’offre et l’abordabilité.
- Il ne prévoit pas d’équilibrer le budget, mais il projette de réduire le déficit à 18,4 milliards $ pendant l’exercice financier de 2029.
Les pays développés voient l’inflation ralentir
- Au Canada, l’inflation a considérablement ralenti en octobre, passant de 3,8 % en septembre à 3,1 % ce mois-ci, ce qui correspond aux attentes des économistes.
- Le taux d’octobre a été le plus bas depuis juin et résulte largement de la chute des prix de l’énergie. La croissance des prix des aliments et des produits de soins personnels a molli. L’inflation de base, qui exclut des éléments plus volatils comme l’énergie et l’essence, s’est assouplie en octobre, ce qui a permis aux ménages canadiens de souffler un peu.
- Considérant que l’inflation et les conditions économiques régressent, la Banque du Canada (BDC) pourrait décider de maintenir son taux d’intérêt de 5,00 % à sa rencontre de décembre. À mesure que l’inflation s’approche de la cible des 2 % de la BDC et que la croissance économique faiblit, l’espoir que la banque centrale rabatte les taux l’année prochaine grandit.
- Il n’y a pas qu’au Canada que les pressions inflationnistes refluent. Au cours des récents mois, l’inflation a lâché pied et la croissance économique s’est essoufflée dans plusieurs états développés, dont les États-Unis, l’Europe et le Royaume-Uni. Cela ouvre la porte à de possibles réductions de taux de la part de leurs banques centrales respectives pendant l’année à venir.
- Cette situation explique en grande partie pourquoi les rendements des obligations gouvernementales de la plupart des grands pays ont rebroussé chemin ces dernières semaines.
Aux États-Unis, les ventes de maison glissent à leur niveau le plus bas depuis des années
- Aux États-Unis, les ventes de maisons existantes ont dégringolé de 4,1 % à 3,79 % en octobre, un plancher depuis août 2010.
- Il s’agit de la descente mensuelle la plus abrupte depuis novembre 2022.
- Une offre déficiente de même qu’une demande encore modeste ont contribué au déclin marqué des ventes de maisons en octobre.
- Selon les données les plus récentes de la Mortgage Bankers Association — l’association des banquiers accordant des hypothèques —, les taux hypothécaires ont régressé au cours des dernières semaines et les requêtes ont progressé. On peut en déduire que les demandes se multiplieront dans l’expectative que la Réserve fédérale fasse une pause à sa prochaine rencontre.
Au Royaume-Uni, l’activité commerciale repart
- Selon une estimation préliminaire de l’indice composé des directeurs d’achats S&P Global/CIPS U.K., l’activité commerciale du Royaume-Uni s’est accélérée en novembre pour la première fois depuis juin.
- Cette reprise s’explique par l’expansion de l’activité dans le secteur des services qui, pour sa part, a tiré profit d’une légère hausse du côté des nouvelles entreprises. En revanche, le secteur manufacturier s’est de nouveau contracté en novembre, mais un peu moins qu’en octobre.
- Ailleurs, l’activité commerciale européenne s’est encore une fois dégradée en raison de la faiblesse du secteur manufacturier et de celui des services.
- Depuis quelques trimestres, l’activité économique du Royaume-Uni et de l’Europe ne parvient pas à reprendre son élan, surtout parce que les conditions financières serrées pèsent lourdement sur les ménages et les entreprises.
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